Julie FLEUTOT

Responsable digital

Créative et touche à tout, Julie a un parcours original. Après un lycée artistique, elle étudie successivement la restauration d’œuvres d’art à La Cambre à Bruxelles, le management culturel et le marketing du luxe.

Au fur et à mesure de ses expériences, Julie se spécialise dans la création de contenu et la compréhension des marques. Un métier créatif, stratégique et stimulant, qu’elle exerce ensuite en freelance pour de nombreuses marques et start up. Des envies d’entreprendre la font également créer sa propre entreprise 100% digitale en plein COVID.

En leitmotiv, l’art. C’est ce qu’elle a étudié, c’est un métier et elle a d’ailleurs son propre atelier de peinture. Julie a cette faculté de voir du beau dans le « moche », du passionnant dans l’insignifiant, du spectaculaire dans la simplicité.

Fraîchement débarquée à Marseille, elle fait la connaissance d’ARCHIK : une entreprise singulière qui attire son attention avec son identité de marque forte, son esthétisme et son audace. Un concept marketing dans un univers culturel et cultivé. Cette passionnée de peinture ancienne également animée par le design et l’architecture, nourrissait en secret l’envie de travailler dans cet univers. C’est chose faite puisque Julie occupe dorénavant le poste de Responsable Marketing & Communication chez ARCHIK.

MASQUE PORTRAIT 5

INTERPRÉTATIONS | Musée Cantini

Novembre 2019 – Février 2020

À l’occasion de l’exposition “Man Ray, photographe de mode” accueillie par le Musée Cantini à partir du 8 novembre 2019, ARCHIK invite trois artistes et designers à réinterpréter l’oeuvre Lampshade de Man Ray.

Lampshade, considéré parmi les “objets d’affection” de Man Ray, brouille les frontières convenues entre objet manufacturé, objet d’art et mobilier. C’est l’un de ses premiers objets a être inventé à New-York en 1919, consistant en une spirale de carton découpée dans un réflecteur d’abat jour et suspendue par une tige : à la fois un « mobile » et un objet trouvé. C’est alors un readymade rectifié mais resté utilitaire, contrairement à ceux de Duchamp (Hat Rack , 1917, également suspendu au plafond), puisqu’une ampoule pouvait s’y loger. La céramiste Emmanuelle Roule, le tourneur Pascal Oudet, et le designer Antoine Chauvin (lauréat de la Design Parade 2018 de Toulon) présentent chacun une pièce inédite, interprétant cette forme si singulière et organique de Lampshade à travers 3 matériaux : l’argile, le bois et l’acier.

Emmanuelle ROULE

Emmanuelle a fondé en 2007 à Paris son studio de création développant une approche transversale et pluridisciplinaire entre le design, le graphisme et la création contemporaine. En complément de sa pratique personnelle, elle a co-fondé en 2017 avec trois autres artistes céramistes, un atelier et un collectif nommés gangster, basé à Paris dans le quartier de Bastille. Elle développe un travail de recherche et d’expérimentation autour du matériau terre. Une approche du design et du faire pensée de manière pluridisciplinaire et empirique, où les propriétés intrinsèques de la matière et le processus de transformation tiennent une place centrale dans la conception. Les objets, les dispositifs conçus, à mi-chemin entre l’utilitaire et la sculpture, dégagent une dimension architecturale et posent la question de notre rapport à la nature, aux matières premières et aux processus de construction. Le travail de la terre invite à un perpétuel va-et-vient entre un matériau ancestral, des savoirs-faire séculaires et son inscription dans la création contemporaine comme une matière aux usages multiples, avec une forte dimension environnementale et durable.

Dans sa réflexion globale sur les matériaux, leur provenance, leur pérennité à l’Ére Anthropocène, Emmanuelle Roule présente une fontaine en terre qui ne coule plus, évoquant l’impermanence naissante de notre rapport à la matière et aux ressources.

Le sentiment d’un mouvement d’eau, de flux, qui est apparu en voyant la Lampshade, elle l’évoque dans l’amoncellement de terre qui porte la pièce, un ruissellement de matière constitué au fil du temps et de son érosion naturelle. Une mouvement d’eau qui est aussi un mouvement du temps.

Pascal OUDET

Pascal Oudet est tourneur d’art sur bois, installé à côté de Grenoble. Ses pièces sont inspirées par l’effet de l’usure du temps qui révèle la structure profonde des matériaux naturels. A partir de chênes soigneusement choisis, il crée des formes d’une grande finesse, dont il révèle ensuite la structure par sablage. Dans un équilibre constant entre agressivité pour user la matière, et délicatesse pour préserver son intégrité, il va jusqu’à la transparence pour donner naissance à une véritable dentelle de bois. Ses créations, alliant maîtrise technique et délicatesse, nous plongent dans l’histoire des arbres dans un subtil jeu de matière et de lumière. Cette technique qu’il a inventée suscite l’intérêt des collectionneurs et galeries dans le monde entier. Ses pièces sont présentes dans les collections permanentes d’Ateliers d’Art de France, de l’American Association of Woodturners et du New York Museum of Art and Design, ainsi que dans des collections privées en Asie, Moyen Orient, Europe et Etats-Unis. En 2012, son travail a été récompensé par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris, et en 2014 par le prix du public au Festival International des Métiers d’Art de Baccarat.

Cette pièce s’inspire de la forme originale de Lampshade, tout en conservant la méthode de travail habituelle de Pascal : le tournage et sablage sur bois. Par tournage à la fois intérieur et extérieur, le tube se forme, pour pouvoir être ensuite découpé en spirale, permettant d’avoir une variation du veinage avec la progression de la spirale. La pièce a ensuite été sablée pour lui donner cette apparence de dentelle, le sablage venant user les zones les plus tendres du bois.

Antoine CHAUVIN

Antoine vit entre Paris et Marseille à la recherche d’une légèreté structurelle et formelle. Il étudie à l’ESAD Orléans, une école libre proposant un programme ouvert sur le graphisme, l’objet et l’espace. En 2015, il rejoint la Suisse et l’écal pour un Master en Design Industriel qui amène à de riches collaborations avec E15, Victorinox ou encore Vitra. Souhaitant rester versatile, il participe et devient lauréat de la Design Parade 3 consacré à l’architecture d’intérieur, qui lui offre par la suite la liberté de créer des espaces pour l’Ancien Eveché à Toulon ainsi qu’une scénographie pour les expositions d’architecture à la Villa Noailles. Il dessine actuellement une collection de Mobilier ainsi qu’une fresque pour les Halles Municipales de Toulon, et crée notamment des Illustrations et espaces de restauration pour Monoprix.

Siamese est un bas relief composé de deux courbes dans un plateau et vissé au mur par 4 Tubes d’hauteurs variables. Ces trois éléments sont visuellement liés par une couleur lumineuse et douce faisant echos à l’oeuvre iconique, la Lampshade de Man Ray.

Se créant un territoire propre, le mouvement organique de la tôle et des tubes crées un jeu d’ombres et de lumière donnant au mur une tension, une dynamique vive et discrète. Pouvant servir de rebords, de crochet ou de surface d’affi chage on peut y apposer quelques livres, coller une image, glisser des clefs ou un parapluie de façon aléatoire.

INFORMATIONS PRATIQUES

Dates

Du 7 novembre 2019 au 10 février 2020
à la Maison ARCHIK Marseille

Pièces à la vente

Emmanuelle ROULE | Mujō ___ 01 À contre-courant – 2019
Pièce unique en argile blanc brut sculptée à la main | 42 x 31 x 31 cm | 1 200 € TTC

Pascal OUDET | Ruban – 2019
Pièce en chêne, sculptée et sablée à la main | 54 x 13,5 cm | 2950 € TTC

Antoine CHAUVIN | Siamese – 2019
Pièce unique, tôle d’acier 25/10, peinte blanc crème | 1300 x 800 x 140 cm | Prix libre

Site des artistes

Le Vernissage

Façonner l’imaginaire | Amélie Maison d’Art

Septembre – Octobre 2019

ARCHIK poursuit son exploration autour de l’architecture, l’art et le design en invitant pour cette nouvelle exposition la galerie parisienne Amelie Maison d’Art.

Dès l’Antiquité dans le Proche et Moyen-Orient, la maquette architecturale en argile explore d’une manière plus ou moins explicite, le rapport au réel et au sacré. De même, à travers les siècles, la pratique de “ paper architecture ” appelée aussi “ architecture visionnaire ”, a souvent été utilisée par les architectes et les artistes pour expérimenter des projets utopiques et représenter des espaces imaginaires. Ces dessins et maquettes conceptuels témoignent d’un désir d’imaginer le monde de demain à l’image de l’homme, parfois en opposition à la rationalité de la technologie.

Repoussant les frontières de l’art, de l’artisanat et de l’architecture, les sculptures et le travail sur papier présentés dans “ Façonner l’imaginaire ” nous renvoient à cette pratique. Les séries d’édifices monolithiques d’Anouk Albertini, et ses formes biomorphiques naturelles annoncent leur rapport au corps avec leurs titres “ Famille ” et “ Couple ”. En parallèle, les constructions de Pilar Angeloglou, à l’instar de sites archéologiques, sont évocatrices d’une architecture antique et traditionnelle. Le travail sur papier de Frédéric Heurlier Cimolaï évoquant des plans de masse, est quant à lui intrinsèque à ses recherches formelles sur les proportions et modulations de l’espace. Enfin, les constructions radicales de Delphine Brabant nous renvoient à une architecture monumentale et brutaliste, communiquant une force expressive aux courants modernistes et utopistes.

Exposées au sein de la MAISON ARCHIK, lieu de travail et de création autour de l’architecture, les pièces présentées dans “ Façonner l’imaginaire ” gagnent en autonomie et manifestent leurs statuts à la fois d’objets et de porteuses d’idées.

Amelie Maison d'Art

« Depuis le début, notre parti pris est celui de l’art contemporain abstrait, qui nous semble être l’expression la plus forte de la liberté créative de chaque artiste qui doit créer son propre vocabulaire pictural.

Au contraire de la figuration, l’abstraction permet aussi un champ d’interprétation sans limite où l’imaginaire de chacun est à l’épreuve. Ne jamais voir deux fois la même chose dans un tableau, là est la force de l’abstraction.

Nous voulons faire émerger une nouvelle génération d’artistes qui méritent une place de premier plan sur le marché de l’art.

Qu’ils soient jeunes ou déjà présents dans des collections prestigieuses, le point commun à tous nos artistes est leur talent et le potentiel que notre comité d’experts leur reconnaît.

Notre mission est de les accompagner dans leur travail, d’accroître leur visibilité, leur notoriété et leur cote. »

Ces dessins et maquettes conceptuels témoignent d’un désir d’imaginer le monde de demain à l’image de l’homme, parfois en opposition à la rationalité de la technologie.

INFORMATIONS PRATIQUES

Dates

Septembre – Octobre 2019
à la Maison ARCHIK Marseille

Commissaire d’exposition

Cari Gonzalez-Casanova

Site de la galerie

Le Vernissage

IGO STUDIO & ALISON THIRION

Mai – Août 2019

Pour son exposition estivale, ARCHIK accueille deux artistes dont les œuvres, précises et exigeantes, sont toutes deux inspirés du paysage urbain.

À travers une scénographie revisitant la piscine comme élément graphique, leurs pièces se mêlent à une explosion de bleu Klein et de courbes inspirées des œuvres de David Hockney.

Cette exposition fait écho au lancement de La Revue selon ARCHIK, nouveau magazine bi-annuel dont la ligne éditoriale est centrée sur l’art, le design et l’architecture.

Pour ce premier numéro tourné vers la Méditerranée, les artistes IGO Studio & Alison Thirion sont également mis en avant, sur papier et in situ. À découvrir au plus vite !

IGO Studio

IGO, studio de photographie récemment basé à Marseille, crée des images dans les domaines de la mode, de l’architecture et du design, ainsi que des clips musicaux pour différents artistes.

Leur travail ne s’arrête pas à un style défini et se caractérise par une forme d’expérimentation permanente, un renouvellement sans limites.

Manifeste marseillais ou autoportrait ? « Eh mercé » est une sélection de photographies produites en une année dans cette nouvelle ville, correspondant parfaitement à leur état d’esprit. Dans cette recherche d’expérimentation, IGO a trouvé une fusion parfaite entre la culture urbaine et la douceur de l’environnement marseillais. Ils y ont découvert des rues qui leur ressemblent, des compositions spontanées, des ambiances singulières et une lumière aussi brute que leur technique photographique.

Alison THIRION

Alison Thirion découvre la céramique en 2015 et choisit la terre comme moyen d’expression, en volume et en couleur. Inspirée par les arts, le paysage urbain ainsi que le lien entre l’objet et le corps, elle crée des pièces faites une à une à la main en petites séries, dans son atelier en région parisienne. En utilisant la technique traditionnelle du tour de potier au service de formes contemporaines, elle inscrit ses créations dans une relative intemporalité. Les lignes de ses céramiques sont architecturales et graphiques, la couleur posée en monochrome. Dans un jeu de construction et de perception, elle questionne l’usage de l’objet en façonnant des pièces singulières, à mi-chemin entre utilitaires et petites sculptures.

La collection Muralla est une invitation au voyage et au soleil brûlant de Calpé, le village d’origine de la grand-mère d’Alison. C’est ici que se trouve La Muralla Roja, cité à l’architecture postmoderniste, dont l’esthétisme constructiviste et l’audace chromatique ont inspiré à Alison les lignes et les couleurs de la collection. Celle-ci se compose 6 différentes pièces avec des découpes faisant directement référence aux nombreux escaliers de la Muralla Roja.

INFORMATIONS PRATIQUES

Dates

Du 16 mai au 23 août 2019
à la Maison ARCHIK Marseille

Site des artistes

Le Vernissage

Marie TISSERAND

Négociatrice associée

Spécialiste de la bastide et de la maison de maître, passionnée par l’architecture industrielle, Marie est une fille ARCHIK.

Si elle aime l’architecture par définition, c’est dans le cinéma que Marie a fait ses premières armes comme monteuse, à Paris puis à Marseille…

L’achat puis plusieurs restaurations de biens, une chapelle du XVIIème, une bastide et la construction d’une maison très contemporaine à la montagne la mettent en condition. Elle se familiarise avec l’immobilier et décide de rejoindre l’équipe d’ARCHIK après un premier contact avec Amandine sur Facebook, un comble pour elle qui s’avoue peu technophile.

De Marseille, elle aime la lumière, le site, l’ambiance cosmopolite et quelques quartiers de prédilection, de l’Estaque à Saint-Barnabé en passant par La Joliette et Arenc qu’elle arpente sans relâche pour repérer des biens d’exception. Ses préférences vont aujourd’hui à La Joliette, un quartier qui renaît et où elle recommande le théâtre « lieu idéal pour flâner et boire un verre ».

Dota | Samy Rio

Mars 2019

À la suite de l’exposition Esthétiques Totémiques, Samy Rio intègre le pool des designers qui collaborent avec ARCHIK pour la création d'une nouvelle Édition : l'applique DOTA révélée lors d'une exposition qui lui est dédiée.

À la suite de l’exposition Esthétiques Totémiques, présentant les fruits de la résidence de Samy Rio au CIRVA et à la Cité de la Céramique de Sèvres, le designer collabore avec ARCHIK et imagine une applique baladeuse, reprenant les deux matériaux phares de ses recherches que sont le bambou et l’aluminium.

Dans un esprit minimal, à la fois tribal et ultra-contemporain, il confronte une fois de plus savoir-faire artisanal et production industrielle.

Samy RIO

Samy Rio a étudié l’ébénisterie pendant quatre ans avant de fréquenter l’École nationale de design industriel (Ensci) à Paris, où il a suivi un cours de cinq ans en design industriel. Ce double cursus lui permet de combiner des techniques industrielles et artisanales qu’il considère complémentaires et indispensables l’une à l’autre.

En octobre 2014, il est diplômé de l’Ensci-Les Ateliers avec les félicitations du jury grâce à ses recherches sur l’utilisation des tubes en bambou et à leurs applications industrielles.

En juillet 2015, il remporte avec ce même projet le premier prix de la Design Parade 10, organisée par la Villa Noailles. A l’issue de ce prix, il est invité en tant qu’artiste en résidence au Centre International de Recherche sur le Verre et les Arts Visuels (CIRVA) à Marseille et à la Cité de la Céramique à Sèvres. Il entame également une collaboration avec la galerie kreo, suite à sa résidence à l’Institut national de recherche et de développement en artisanat de Taiwan (NTCRI).

Lors de chaque résidence ou nouveau projet, Samy Rio poursuit ses travaux expérimentaux sur différents matériaux, explorant toujours davantage les liens entre artisanat séculaire et industrie moderne, entre tradition et nouveaux outils, questionnant autant la manière dont nous produisons les objets que les objets eux-mêmes.

Samy Rio explore toujours davantage les liens entre artisanat séculaire et industrie moderne.

INFORMATIONS PRATIQUES

Dates

Mars 2019
à la Maison ARCHIK Marseille

Site du Designer

Le Vernissage

Ohanna MACÉ

Négociatrice

Ayant toujours œuvré dans le milieu commercial dans le secteur pharmaceutique, c’est sur le terrain qu’elle affute son sens de l’écoute et de l’accompagnement. Avec une attention toute particulière portée au Beau, qui l’incite à pousser toujours plus loin l’expression de sa singularité. Sa forte personnalité est une palette élégante de teintes méditerranéennes, d’architectures lumineuses, pures et organiques. Sans oublier une sélection d’art, d’artisanat, de matériaux texturés, pour un total look bohème chic.

Créative, curieuse, passionnée de voyage, de gastronomie, de culture, de mode, elle est sensible à l’œuvre de Le Corbusier pour son avant-gardisme, à la poésie de la designer Elise Fouin et à l’invitation au voyage d’India Mahdavi.

Passée à deux doigts d’une carrière de créatrice de mode, elle finit par se tourner vers un univers qui lui ressemble plus et qui réunit ce qui a du sens pour elle : un retour à ses fondamentaux. Elle trouve le parfait équilibre chez ARCHIK dont elle partage le langage et la notion d’art de vivre.

Ce qu’elle aime à Marseille ? L’impression que tout est possible. Son effervescence l’anime, autant que sa connexion avec la nature : « les calanques à deux pas de la ville ».

Photos @paoladeamalu

Alexia BACHELLERIE

Négociatrice

Alexia est une véritable globe-trotteuse qui grandit entre le Var, la Bretagne et Tahiti. Bercée par les voyages et les déménagements, elle cultive sa curiosité et son goût pour les belles choses, notamment la mode et l’architecture.

Après des études en école de commerce à Toulon puis à Paris, Alexia se lance dans la mode auprès d’enseignes comme Zadig&Voltaire, Claudie Pierlot ou Heyraud. Une expérience nationale puis internationale de plus de 10 ans où elle met en œuvre son exigence, son sens de l’esthétique et son écoute, auprès des sièges des marques puis des boutiques. En France, en Espagne et jusqu’à Singapour, où elle s’installe pour développer la stratégie commerciale de la marque Château de sable.

Humaine et solaire, Alexia se passionne pour le Beau à travers l’art, la mode, l’architecture et… la peinture. Fervente amatrice de Soulages et de Basquiat, appréciant autant les vielles pierres que le béton brut, aussi citadine que randonneuse, Alexia est éprise de contrastes.

Une belle page se tourne en 2021 pour s’ouvrir sur une nouvelle histoire avec ARCHIK, à la conquête de biens précieux et cachés d’Allauch à Toulon, en passant par Cassis et la Ciotat. Aucun doute, cette battante relèvera tous les défis à vos côtés en vous accompagnant dans la découverte de votre futur bien !

Photos @paoladeamalu

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Un Noël arlésien | Marchande des 4 saisons

Décembre 2018 – Février 2019

Pour son exposition d’hiver, ARCHIK invite Arles au cœur du quartier des Antiquaires de Marseille.

La cuisine locale et intuitive d’Armand Arnal (La Chassagnette), vient célébrer la terre le temps d’une soirée, tandis que la marchande des 4 saisons, galerie d’ar(t)les, investi la vitrine avec une proposition éclectiques d’artistes et designers.

Mêlant les époques et les pratiques, la sélection présente des pièces caractérisées par une certaine intemporalité : qu’il s’agisse de photographie, de céramique ou de design, d’icônes ou de plus jeunes artistes, l’architecture et les matériaux bruts sont mis à l’honneur, dans une gamme chromatique restreinte et élégante, à l’image des codes ARCHIK.

Anne Carpentier, Fondatrice de la marchande des 4 saisons

 » Les étudiants de l’école de photographie-ENSP sont poussés dans leurs retranchements (Jean Marquès), à la lumière des grands (Lucien Clergue), les matières les plus brutes et les formes les plus minimales se révèlent aux jeunes designers (Nikita Garrido, Emmanuelle Roule, Le Morandine, Argot Studio, Alison Thirion) et ce qui est détestable devient enviable (Moustique). Il en résulte des créations singulières, qu’on ne voit nulle-part-ailleurs, un critère rare et cher au collectionneur averti. La sélection joue parallèlement des couleurs arlésiennes, entre le noir et blanc de la photographie, symbole de la ville, et des ocres pâles, des teintes de la pierre et des enduits qui recouvrent la plus grande partie des maisons. »

Les matériaux bruts sont mis à l’honneur, dans une gamme chromatique restreinte et élégante.

INFORMATIONS PRATIQUES

Dates

Du 6 décembre 2018 au 2 février 2019
à la Maison ARCHIK Marseille

Site du Designer

Le Vernissage

Esthétiques Totémiques | Samy Rio

Septembre – Novembre 2018

A l’occasion d’Art-O-Rama, ARCHIK poursuit son hommage aux matières et aux savoir-faire, à travers le travail structuré et poétique de Samy Rio.

La Maison ARCHIK accueille pour cette nouvelle exposition le designer lauréat de la Design Parade 2015 (Villa Noailles) qui a également réalisé une résidence d’un an au CIRVA ainsi qu’à la Cité de la Céramique, à Sèvres. Deux institutions, non pas des moindres.

Le travail de Samy Rio, bien que doté d’une charge décorative, ne s’arrête pas à la seule finalité esthétique. Le bambou est ainsi couramment employé par le designer pour le substituer aux métaux et plastiques de nos quotidiens. Au-delà des recherches sur la matière, Samy Rio s’est particulièrement intéressé, durant sa résidence, à la forme et aux savoir-faire : il s’agissait ici de façonner le verre, la céramique et le bambou avec exigence, et d’élaborer leur association avec une telle précision d’assemblage qu’on eut cru à des pièces industrielles.

Alors, à y regarder de plus près, la beauté de cette collection n’émane non pas de son allure tribale, mais plutôt de l’apparente simplicité et de la composition maitrisée de ces pièces entièrement réalisées à la main.

Samy RIO

Samy Rio a étudié l’ébénisterie pendant quatre ans avant de fréquenter l’École nationale de design industriel (Ensci) à Paris, où il a suivi un cours de cinq ans en design industriel. Ce double cursus lui permet de combiner des techniques industrielles et artisanales qu’il considère complémentaires et indispensables l’une à l’autre.

En octobre 2014, il est diplômé de l’Ensci-Les Ateliers avec les félicitations du jury grâce à ses recherches sur l’utilisation des tubes en bambou et à leurs applications industrielles.

En juillet 2015, il remporte avec ce même projet le premier prix de la Design Parade 10, organisée par la Villa Noailles. A l’issue de ce prix, il est invité en tant qu’artiste en résidence au Centre International de Recherche sur le Verre et les Arts Visuels (CIRVA) à Marseille et à la Cité de la Céramique à Sèvres. Il entame également une collaboration avec la galerie kreo, suite à sa résidence à l’Institut national de recherche et de développement en artisanat de Taiwan (NTCRI).

Lors de chaque résidence ou nouveau projet, Samy Rio poursuit ses travaux expérimentaux sur différents matériaux, explorant toujours davantage les liens entre artisanat séculaire et industrie moderne, entre tradition et nouveaux outils, questionnant autant la manière dont nous produisons les objets que les objets eux-mêmes.

Samy Rio explore toujours davantage les liens entre artisanat séculaire et industrie moderne,.

INFORMATIONS PRATIQUES

Dates

Du 1er septembre au 30 novembre 2018
à la Maison ARCHIK Marseille

Site du Designer

Le Vernissage