Regorgeant de lieux mythiques et de rues symboliques, le quartier de Saint-Thomas d’Aquin est un incontournable du 7ème arrondissement. Traversé par la rue de Sèvre, la rue du Bac ou encore par le boulevard Saint-Germain, il est difficile d’échapper au climat typiquement parisien flottant sur le quartier.

Face à la sortie de métro Sèvre-Babylone, vous tomberez nez-à-nez avec le premier Grand Magasin à avoir vu le jour : le Bon Marché. Fondé en 1838, ce lieu raffiné et singulier à la sélection pointue et aux services haut de gamme est une référence de la Rive Gauche. Imaginé par l’architecte Louis-Charles Boileau et par l’ingénieur Gustave Eiffel, son bâtiment conjugue anticonformisme et élégance. Habillé en son intérieur de sublimes verrières Art déco, vous ne pourrez échapper à son fulgurant escalator sublimé à chaque occasion par des artistes en tout genre.

Joyeux mélange de genre, Saint-Thomas d’Aquin abrite également l’école Sciences Po, l’Hôtel Matignon, le ministère de l’Éducation Nationale, de nombreuses ambassades et universités lui ajoutant ainsi un caractère étudiant et politique.

Évidemment, les bonnes adresses ne manquent pas, restaurants prestigieux, excellents commerces de bouche et fantastiques librairies offrent une qualité de vie incomparable.

Traversé par les célèbres boulevards Malesherbes et Haussmann, le quartier de la Mairie s’entoure de nombreux espaces verts ; il est particulièrement prisé des familles. On y trouve d’excellentes écoles comme le lycée Chaptal ou Fénelon, ainsi que des commerces de bouche et épiceries raffinées.

La mairie du 8ème, aussi appelée « Hôtel Cali »
en hommage à son ancien propriétaire, l’industriel
Jean-François Cali, est un vieil Hôtel particulier inscrit aux Monuments Historiques. Achevé en 1865, il conserve en son intérieur les magnifiques décorations sculptées de Pierre-Édouard Charrier qui travailla également pour le Palais du Louvre.

Le square Marcel Pagnol offre aux riverains un petit coin de verdure, on y découvre sa jolie fontaine aux vasques fleuries ainsi que la statue en bronze du poète Paul Déroulède édifiée par le sculpteur Landowski. En toile de fond, se dessine l’imposante église Saint-Augustin qui trouve son originalité dans son style éclectique, inspirée des Arts romains et byzantins ainsi que par sa majestueuse coupole.

Le nom de ce quartier provient de la présence des Archives Nationales en son sein. Le Musée des Archives ainsi que son magnifique jardin sont devenus de véritables échappatoires au stress de la vie quotidienne. Il offre plus de 10 millions d’images numérisées retraçant l’histoire de Paris et ses habitants.

La culture possède une place importante qui s’illustre par la présence de galeries affirmant chacune leurs styles tels que Thaddaeus Ropac, Emmanuel Perrotin ou encore Polka. Le week-end, on aime flâner dans ses petites ruelles piétonnes et ses lieux insoupçonnés.

Ce quartier, jouissant d’une vitalité unique, offre un cadre de vie aux multiples atouts, passant notamment par une architecture singulière, dans laquelle cohabitent habilement les hôtels particuliers, les musées, les rues commerçantes et les espaces verts. L’hôtel de la Soubise construit par l’architecte Pierre-Alexis Delamair et l’Hôtel Salé qui accueille le fameux Musée Picasso sont des exemples d’incontournables du quartier.

Sainte-Avoye, véritable sanctuaire pour les artistes et marchands d’art, concentre un grand nombre de galeries telles que les galeries Marian Goodman et Templon. Dans ce quartier coloré et artistique, vous pourrez, au détour d’une rue, vous faire surprendre par des œuvres en tout genre. Au détour d’une balade, vous pourrez flâner dans les splendides allées du Jardin d’Anne Frank ou encore découvrir le passage fleuri et verdoyant de l’Ancre-Royale méconnu du grand public. Côté architecture, les appartements de caractère aux poutres apparentes sont extrêmement prisés, notamment pour leur localisation privilégiée en plein cœur historique de Paris. L’attrait culturel, touristique et commerçant de ce quartier offre une atmosphère légère, vivante et attractive pour les habitants.
C’est tout naturellement qu’ARCHIK y a installé ses bureaux parisiens, rue de Montmorency, environnée de galeries, de commerces de bouche et de brasseries. Maison dans laquelle nous serions heureux de vous recevoir autour d’un café !

Traversé par la rue de Bretagne, cet ancien quartier du Temple, compte des dizaines de concepts-store et commerces de bouche dans un décor du vieux Paris.  Les passants trouvent leur bonheur dans les boutiques de créateurs, les friperies et espaces culturels qui animent le quartier.

Parmi les lieux incontournables figure le marché des Enfants-Rouges, considéré comme le plus vieux marché couvert de Paris. Il propose des plats aux saveurs internationales dans une atmosphère légère et familiale. Les dimanches, on aime aussi s’y retrouver entre amis pour un brunch savoureux.

Le Carreau du Temple est également une adresse immanquable. Réhabilité par l’architecte Jean-François Milou, son impressionnante structure métallique se révèle sur fond monochrome et lumineux en bois de chêne. Véritable lieu de vie et d’expérimentations pluridisciplinaires, ce lieu accueille et héberge artistes et créateurs en tout genre, mettant en lumière les tendances intellectuelles et esthétiques contemporaines.

Construit au début du XIX^ème siècle, ce petit quartier se voit investi par l’élite romantique de l’époque tel qu’Alexandre Dumas, Claude Monet, ou bien encore Frédéric Chopin avec Georges Sand. Ils choisissent alors de prendre le contre-courant des bâtiments haussmannien et y préfèrent une architecture
néo-classique qui s’inspirent de l’art antique d’où le nom de la  » Nouvelle Athènes « . Un quartier qui regorge de styles architecturaux différents.

Au numéro 9 de la rue Navarin, un étonnant immeuble de style néo-gothique a abrité à l’époque une maison close avant sa fermeture en 1946. Sur la place Saint-Georges, cœur de la Nouvelle Athènes, vous y trouverez deux sublimes hôtels particuliers de style néo-classique : le fastueux Hôtel de Paiva et celui d’Adolphe Thiers.

Aujourd’hui c’est un quartier à la fois familial avec de très bons commerces de bouche mais aussi très vivant grâce à ses nombreux théâtres et à sa proximité avec le quartier de Pigalle.

Appartenant autrefois à la commune de Montrouge, ville située en arrière de la porte d’Orléans, ce village a été intégré à Paris en 1860. Depuis, l’esprit village n’a jamais disparu, on aime y faire son marché les mardis et vendredis sur la place Jacques Demy.

La rue Mouton-Duvernet, qui prête son nom au quartier, est l’une des artères principales qui le compose.
Bordée par les squares de l’Aspirant-Dunand d’un côté et Ferdinand Brunot de l’autre, cette rue est symbole d’escapade verte en plein Paris. À l’angle de la rue Pierre Castagnou, vous pourrez observer le Conservatoire Darius Milhaud, édifice fraîchement rénové par l’architecte Bruno Mader.

Animée et bonne vivante, la rue Daguerre, autre figure de ce quartier, déborde de commerces. Sous ses airs bon enfant, elle nous conduit à la place Denfert-Rochereau, où règne une tout autre ambiance, avec son héroïque Lion de Belfort d’Auguste Bartholdi.
Cette place marquant autrefois l’entrée de la capitale est aujourd’hui l’un des carrefours les plus importants de Paris.

Ce repère de la rive droite doit son nom en partie à l’imposante église de la Trinité. Construite en 1867 par l’architecte Théodore Ballu, son style s’inspire de la renaissance italienne mais aussi française. Cet édifice, intensément décoré et couronné par son haut clocher beffroi, précède le pittoresque square d’Estienne-d’Orves.

L’importance des jeux et des spectacles vivants se remarque dans ces rues qui abritait autrefois les anciennes folies. Lieu de rencontre pour tous les amateurs de théâtre qui souhaitent profiter des représentations originales au sein d’adresses emblématiques, entre autres, le Casino de Paris,
le Théâtre de l’Œuvre ou encore La Grande Happy Comédie. La vie culturelle riche et le dynamisme font de ce quartier un lieu prisé des parisiens.