Le Roucas-Blanc

C’est le quartier le plus huppé de Marseille constitué d’un habitat bourgeois, anciennes « maisons d'été » des riches familles industrielles marseillaises.

Il tient son nom de la roche sur laquelle il se situe (« Rocher Blanc »), ce qui explique ses montées d’escaliers caractéristiques permettant de superbes points de vue.

À proximité de Notre-Dame de la Garde, il surplombe la Corniche Kennedy et les plages des Catalans, de Malmousque et du Prophète. Baladez-vous dans ses ruelles escarpées et passez au Culti déguster une bonne grillade.

Une perle de tranquillité et de quiétude en plein centre de la ville…

Le Pharo

Au-dessus du Vieux-Port, Le Pharo se situe entre la plage des Catalans et le fort Saint-Nicolas. Le Palais d’où il tient son nom est un lieu unique offrant un panorama sur la rade de Marseille, son Vieux-Port, le Fort Saint-Jean et le Mucem.

On y admire les bateaux et on profite d’un coucher de soleil sur grand écran.

C’est Napoléon III en 1858 qui fit construire le Palais pour l’Impératrice Eugénie par les architectes Vaucher et Lefuel. Le palais fut par la suite modifié visant à être transformé en école de médecine, aujourd’hui divers services municipaux et un centre de congrès souterrain y sont installés.

Plusieurs établissements emblématiques sont à découvrir dans ce joli quartier. Comme les bains des Catalans qui doivent leur nom à une communauté de pécheurs espagnols installée là depuis le XVIIème siècle, ses promenades en bois et ses cabines sur pilotis aujourd’hui disparues ont laissé place au cercle des nageurs. L’immeuble Les Catalans aux façades blanches plissées conçu par les architectes Bentz et Devin. La résidence du Pharo, cette tour dominante forme le pendant de la résidence Tourette à l’entrée du port. Le Saint-Georges avec sa forme de « banane » créé par l’architecte Ingrand en 1963, et labélisé Patrimoine du XXème siècle. Ou encore le lycée Colbert par les architectes de renoms Egger et Pouillon, lui aussi labélisé Patrimoine du XXème siècle. Dans sa cour, on y découvre une secrète fresque de céramique.

Malmousque

Situé sur la Corniche, il est un quartier pittoresque où tout converge vers la mer.

En effet Malmousque est à mi-chemin entre l’île et le village. Les ruelles sinueuses et les escaliers au détour desquels on découvre d’anciennes bastides bourgeoises ou autres cabanons de pêcheurs sont les caractéristiques premières de ce quartier.

Malmousque conserve une identité merveilleuse avec son petit port, ses habitations traditionnelles qui offrent une vue panoramique sur l’ensemble des îles du Frioul et des îlots alentours.

On apprécie le calme, le charme et la proximité du centre-ville de ce quartier prisé, où règne incontestablement une ambiance balnéaire.

Endoume

Le très côté quartier d’Endoume mélange les genres. Avec le Vallon des Auffes, Malmousque (du nom de la presqu'île qui part de la Corniche) et le rocher de Samatan, qui sont des « micro-quartiers » très recherchés où il fait bon vivre.

Situé à proximité du bord de mer, Endoume constitue une alternative agréable au Roucas Blanc. Moins cher, plus urbain, il propose une gamme de biens variés, de la petite maison de ville à la résidence semi-récente en passant par des appartements avec extérieur ou vue sur la baie de Marseille et sur la colline de la Garde. Paisible sans être éteint, il s’articule autour de la place Saint-Eugène bordée de divers commerces de bouche.

Un peu plus haut, les environs de la rue Samatan, peu connus et préservés, présentent eux aussi l’avantage d’être proches du centre sans être étouffants.

À Endoume, on profite de la mer toute proche, notamment aux abords du petit port de pêche du Vallon des Auffes et de l’anse de la Fausse Monnaie.

Allez boire une mauresque à un café de la place Saint-Eugène, dînez au Baron Perché et rendez-vous au Théâtre Sylvain pour un concert en plein air, dans un cadre idyllique. La tête dans les étoiles !

Bompard

Le quartier très populaire de Bompard commence sous Notre-Dame de la Garde et se termine au bord de la mer, au niveau de la corniche du président John Fitzgerald Kennedy.

Construite par Gaston Deferre lors des grands travaux lancés en 1954, la corniche a transformé le bord de mer de la Cité phocéenne en en faisant une promenade couplée à un axe routier très fréquenté.

Loti sur les hauteurs du 7e arrondissement, sa situation est idéale pour les citadins amoureux de la mer et des vues dégagées. Une multitude de ruelles, de croisements et d’impasses, s’articulent autour du boulevard Bompard qui scinde le quartier en deux.

Construites dans les années 1950, les maisons sont pour la plupart des maisons individuelles aisées, avec quelques constructions récentes plus modestes. La population du quartier, qui est venue s’installer à Bompard dans les années 1950, est plutôt jeune. Difficile d’accès et particulièrement calme, le quartier est aujourd’hui très recherché par les familles.

Cette évolution explique aussi la densité des écoles, et si les petits commerces sont réputés pour leur qualité, les soirées sont plutôt calmes et les restaurants peu nombreux. On se laissera tout de même tenter par une livraison à domicile de la pizzeria Les 2 Frangins, car ce soir c’est match !

Vieux-Port

Le Port de Marseille constitue le cœur de la ville, il est l’un des plus importants en Europe mais, surtout, l’un des plus pittoresques.

Quartier incontournable et emblématique de la cité phocéenne il est l’un des plus animés de la ville. Lieu de rencontre et d’échange ce site convient à de jeunes actifs pour son emplacement central et sa vie de quartier agité.

Parfaitement desservi par le métro, de nombreux bus et plusieurs services maritimes, il est un centre historique et culturel riche. Non loin de nombreux restaurants, brasseries, commerces de proximité tendances, il offre toutes les commodités à ses habitants, le tout dans un décor agréable qui ne cesse d’évoluer et de se diversifier.

Suite au réaménagement du Vieux-Port, l’architecte britannique Norman Foster a signé un miroir en ombrière, une création architecturale, design mais surtout high-tech qui est l’exact renversement de l’eau du port. Une œuvre qui prend place aux côtés des bâtiments réalisés dans les années 40 par l’architecte François Pouillon, des réalisations à ce jour classées.