D’UNE ÎLEPétrie par ses vies antérieures, la maison de campagne et table d’hôtes D’une Île, nichée en plein coeur du Perche, est une parenthèse hors du temps pour citadins en mal de simplicité.Ne cherchez pas comme chez Septime ou Clamato – deux autres adresses du groupe fondateur des lieux – une référence déguisée dans le titre. Non, « D’une Île » est un nom de baptême hérité des anciens propriétaires. La transmission est justement la raison d’être de cette oasis campagnarde qui accueille ses hôtes dans des murs vieux de plus de quatre siècles.Situé à environ deux heures de Paris, posté à équidistance du Mans et de Chartres, le Parc naturel régional du Perche se dévoile dans le plus simple appareil, et avec lui, D’une Île. À Rémalard, bourgade jusque-là inconnue du gotha citadin, ce gîte bohème de huit hectares R fait depuis une poignée d’années office de résidence secondaire pour la famille Septime, conglomérat gourmand établi rue de Charonne, à Paris. Dirigé par l’entrepreneur Théophile Pourriat et le chef Bertrand Grébaut, le groupe ajoute en 2018 avec D’une Île une quatrième adresse à son catalogue hétéroclite, déjà composé d’un restaurant gastronomique étoilé (Septime), d’un bar iodé (Clamato) et d’un cellier à vins natures et épicerie bio (La Cave). Tapisserie, une pâtisserie artisanale, complète depuis ce savoureux tableau. La naissance de D’une Île doit tout au destin. Un break entre copains amène Théophile Pourriat à poser ses valises le temps d’un week-end au gîte originel. Il y fait la connaissance des hôtes, un couple de charmants Néerlandais. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais quelques mois plus tard, l’entrepreneur reçoit un coup de fil : le couple cherche à vendre et demande des conseils. Théophile s’enquiert du dossier de vente, qui finit sur son bureau pour relecture. Un dernier coup d’œil changera la suite des événements : il appelle Bertrand pour lui présenter le projet car, finalement, cette baraque, ils pourraient bien en faire leur pied-à-terre à la campagne… Deux mois et demi plus tard, les Néerlandais repartent à Amsterdam et le duo se voit remettre les clés du domaine. Pas de gros travaux ni de remodelage, Théophile et Bertrand décident de conserver la propriété dans son jus et d’en exploiter le charme suranné. Certes, quelques transformations, dont l’ajout de deux chambres modernes, un sauna dans une bulle panoramique établi sur la colline – et bientôt, un bassin de nage à eau salée – façonnent un lieu à destination d’une clientèle exigeante. Il n’empêche que tout semble avoir toujours été là. Murs en pierres, tomettes ocres et poutres massives composent le socle commun. Dans les dix chambres, comme partout d’ailleurs, la décoration est minimaliste et rustique. Elle a été chinée dans les brocantes de la région, parfois trouvée en bord de route ou au fond d’une grange. Table égratignée, fauteuil scandinave, (très) bon lit, beaucoup de blanc… Un dépouillement qui rappelle la vie simple d’autrefois, même si les connaisseurs reconnaîtront quelques pièces de designer, luminaires Tom Dixon ou céramiques LRNCE en tête, qui ancrent D’une Île, ère Septime, dans son époque.Pour découvrir tout cela, il faut s’armer d’un peu de patience et d’une voiture avec de bonnes suspensions. Car le bonheur se trouve… en haut du chemin ! La propriété se dévoile sous les traits d’un instantané bucolique : on distingue, au loin, comme accrochées dans la forêt, les cinq chaumières de pierres qui composent le gîte. Bienvenue chez vous. Car ici, les conventions s’estompent à mesure que l’on découvre les hôtes du lieu : Coralie, Marine, Laurine… D’une Île se définit en effet comme une maison de campagne plutôt qu’un hôtel. Comme à la maison, donc, on n’hésitera pas à bouquiner au coin du feu, à passer une tête en cuisine, à désherber le potager… Ni à chausser ses bottes de pluie pour arpenter la forêt voisine, à la recherche de champignons ou d’herbes aromatiques qui se retrouveront à l’heure du goûter en infusion ou le soir dans l’assiette. L’assiette, justement, tient sa petite réputation. Bien que majoritairement occupée par les résidents, la table d’hôtes D’une île s’est rapidement imposée comme le rendez-vous des grandes occasions pour les gens du coin. S’y dressent deux dizaines de couverts dépareillés, parfois ébréchés, une collection elle aussi constituée au gré des flâneries locales de l’équipe fondatrice. À l’image des visages désormais familiers qui assurent aussi le service, la décontraction est de mise. Pas d’uniformes ni de nappes, encore moins de cérémonial ou de mets impossibles à déchiffrer, la cuisine se fait la gardienne de la philosophie de la maison. Humble et sincère, la carte est l’œuvre du chef Bertrand Grébaut, co-auteur des lieux. Récompensé d’un macaron Michelin pour la partition néo-bistronomique du Septime, il détricote ici les codes pointus qui ont fait la renommée de son adresse étoilée pour donner à D’une Île la saveur d’une auberge rurale, mais exigeante. Au menu, quelques grands classiques du répertoire français – œuf à la coque, pâté en croûte… selon les envies et les saisons – côtoient une cuisine brute à dominante végétale, deux qualificatifs hérités du maître du genre, Alain Passard, auprès duquel le chef Grébaut a fait ses armes en amorce de sa carrière. À chaque coup de fourchette, les goûts et les saveurs résonnent en bouche comme rarement. Une banale salade de tomates s’imprime illico dans la mémoire de nos papilles. Trésor du terroir régional, chaque produit travaillé en cuisine sort tout juste de terre. Une fraîcheur exceptionnelle empreinte de tradition qui garantit de grands moments en bouche… Si certaines denrées ont grandi à domicile, dans le potager cultivé par les équipes, l’autre partie du garde-manger provient directement des marchés et des producteurs voisins. C’est Nicolas qui livre les fruits et légumes, Didier les œufs… La boulangerie se fait sur place, tout comme la pâtisserie. La cuisine a d’ailleurs tiré un trait sur tout ce qui n’aurait pas poussé en terre normande ou sarthoise afin de respecter l’ancrage local qui anime D’une Île depuis des générations. L’exception qui confirme la règle concerne la cave : c’est vrai qu’à part le cidre, la viticulture n’est pas à son apogée dans le coin ! Les vins à la carte sont bien sûr natures ou biodynamiques, issus de vignobles européens ayant tiré leur épingle du jeu sur la table du Septime. Une fois élus par la clientèle de la rue de Charonne, les meilleurs jus sans intrants prennent sans détour le chemin du Perche.Et l’écologie dans tout ça ? « Le gîte est écolo, par la force des choses » nous répond-on. Et de se rappeler que la vie à la campagne, c’est depuis toujours rendre les cagettes au primeur qui vient livrer ses fruits et légumes, composter les déchets organiques et vivre au rythme des saisons. Chez D’une Île, comme dans les fermes d’antan, le quotidien est fait de petites choses simples. Une pause nécessaire, loin du tumulte de la ville.INFORMATIONS PRATIQUESLieu-dit L’Aunay 61110 RémalardT – +33 (0)2 33 83 01 47 7 @duneile Photographe – Théophile Pourriat & D’Une Île Texte – Fanny Liaux-GasquerelVILLE D’HIVERRedonner vie à un lieu laissé pour compte est un magnifique pari. Ancienne usine de la Compagnie Générale des Eaux d’Arcachon reconvertie en hôtel, la Ville d’Hiver promet un véritable bond hors du temps.L’âme de la Ville d’Hiver est palpable – celle de l’hôtel tout autant que celle du quartier qui lui donne son nom. A l’heure où la maison souffle ses dix premières bougies, elle offre un séjour à travers les siècles. Une fois sa voiture garée, son train débarqué et ses valises posées, il suffit au visiteur de se laisser porter. Ici, tout se découvre à pied. On rejoint la mer en dix minutes, tandis que la forêt de pins jouxte directement la propriété. Le quartier, résidentiel, est un havre de paix du plus bel effet qui porte dans sa mémoire plus de cent ans d’histoire.Retour dans le passé. En 1865, Emile et Isaac Pereire, entrepreneurs des chemins de fer, fleurent l’explosion du tourisme sur le Bassin d’Arcachon. Alors que la ville triple sa population en été, les deux frères cherchent à rentabiliser leur investissement 365 jours par an. Une idée ne tarde pas à germer : à une époque où la pénicilline n’a pas encore été découverte, les sanatoriums sont encore ce qu’il se fait de mieux pour soulager les tuberculeux. La côte Atlantique n’en compte alors aucun. Eurêka ! Plus de 300 villas cossues destinées aux malades et à leurs – riches – familles sortiront de terre en un temps record sur les hauteurs d’Arcachon. Bienvenue à la Ville d’Hiver.En 2020, le quartier n’a rien perdu de sa superbe – seulement ses malades. Au gré d’une balade le long de ses petites rues sinueuses – on dit qu’elles ont été dessinées afin d’empêcher tout courant d’air de se créer, nocifs pour les tuberculeux – une architecture singulière se dévoile. Pas une maison ne se ressemble trait pour trait ! Ce joyeux pêle-mêle hybride emprunte aux styles néo-gothique, mauresque, à la maison coloniale et même au chalet suisse leurs attributs distinctifs qui donnent son caractère unique à chaque villa. Ces maisons, que l’on dit “arcachonnaises”, et leur quartier, sont aujourd’hui inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques de France.C’est donc au cœur de cette ville dans la ville que se sont installés Nathalène et Olivier Arnoux. Leur hôtel, ils l’ont découvert sous les ronces. S’ils pensaient s’établir du côté du Cap Ferret, ils tombent sous le charme de l’ancienne usine élévatrice de la Compagnie Générale des Eaux, édifiée en 1884 et propriété de la mairie depuis sa mise hors-service. Le bâtiment est nu, en friche, dépourvu de vie. Le pari est de taille : faire revivre tout un pan de l’histoire d’Arcachon. En 2009, après dix mois de travaux, le couple inaugure un hôtel flambant neuf, qui semble avoir pourtant toujours existé. Si l’usine abrite désormais les lieux de vie communs, ce sont bien dans deux nouveaux bâtiments créés ex-nihilo que s’imbriquent les chambres. Un tour de force pour l’architecte Emmanuel Graffeuil qui, un siècle plus tard, a su redessiner les contours de l’architecture sans pareille du quartier. Une villa d’époque adjacente à la propriété complète l’offre d’hébergement qui comprend dix chambres, en tout.Conjuguant les styles et les époques, l’hôtel la Ville d’Hiver semblerait dater lui aussi de 1884, sans paraitre démodé. Prônant une esthétique intemporelle, les lieux se parent d’un savant mélange de rééditions de design du début du siècle, avec notamment une belle sélection de mobilier de l’éditeur danois Gubi, qui apporte la juste touche de modernité, et de meubles chinés sur les brocantes ou dans les greniers familiaux. Les murs s’habillent de toiles d’artistes locaux ou de reproductions authentiques de grands maîtres. Le bois vient se frotter au cuir, les tissus irlandais jonchent les banquettes, la couleur s’étale sur de grands tapis et de larges bouquets de fleurs. Avec un peu de flair, on se surprend à déceler un côté british à l’ensemble, le mariage des couleurs – sols bleu roi par-ci, touches audacieuse de vert, de violet et de magenta par là – faisant foi d’un certain anticonformisme. Touché : Nathalène Arnoux est une fervente amatrice du style éclectique des intérieurs d’Outre-Manche.Autre fait marquant à la Ville d’Hiver : la douceur de son atmosphère. Réminiscence du passé curatif du quartier ou véritable état d’esprit, tout n’est que quiétude. L’écrin, certes, y est pour quelque chose : les moquettes au sol adoucissent les pas, le bois omniprésent rappelle les maisons de famille, la lumière – du jour ou artificielle – saupoudre le tout d’une chaleur irrésistible. Les services n’en déçoivent pas moins. L’accueil se fait avec le sourire aux lèvres, grâce à un personnel fidèle à la maison depuis son ouverture. Le restaurant, un bistronomique, sert une cuisine authentique et généreuse où les locaux se rendent souvent en pèlerinage – l’adresse est une des meilleures d’Arcachon. Le spa, co-créé avec la marque de cosmétiques éco-responsables et naturels Dr. Hauschka, prolonge la détente avec des soins du visage et des massages de haut vol, couronnés d’un hammam. L’option piscine est aussi des plus délectables : creusée dans l’ancienne cuve de l’usine des eaux, elle se trouve à l’abri des courants d’air, comme cachée sous une marée d’herbes folles. Après quelques brasses toniques, on se love dans les fauteuils style Strandkorb, ou “corbeille de plage”, très appréciées des plages fraîches d’Europe du Nord, idéals pour se perdre dans l’intrigue d’un bon livre.Profondément culturel, l’hôtel aime convier ceux qui placent l’art au coeur de leurs vies. Les expositions de photos et de peintures s’enchaînent mais ne se ressemblent pas. On croise dans les couloirs des écrivains assignés à résidence – l’hôtel édite des recueils de nouvelles régulièrement. Les pièces de décoration ont souvent une histoire, à l’instar de ces vases exposés dans le salon, façonnés par un surfeur rencontré sur une plage de Californie. L’été, c’est au bord de la piscine que l’on s’attarde pour écouter un concert a capella. À l’image de sa première vie, la Ville d’Hiver revigore et apaise corps et esprits.INFORMATIONS PRATIQUES20 avenue Victor Hugo 33120 Arcachon 05 56 66 10 36 @hotelvilledhiver Photographe – Alexis Atteret Texte – Fanny LiauxL’ARLATANC’est à un carambolage spectaculaire de couleurs et d’époques que nous convie l’artiste Jorge Pardo dans un hôtel du XVème siècle au centre d’Arles entièrement transfiguré.Comme dans tous les palais et belles demeures arlésiennes, l’extérieur est trompeur : massif et rude comme le mistral balayant le delta du Rhône. L’hôtel d’Arlatan (du nom d’un riche intendant du Roy René) n’échappe pas à la règle, et le classement d’une partie du site aux Monuments Historiques a nécessité de s’accommoder de ces murs épais, ces petites ouvertures et ces plafonds bois à encaissement très hauts. “De la contrainte naît la créativité” dit l’adage et c’est justement ce que l’on découvre en caressant le déshabillé en résille qui orne l’entrée, et que l’on retrouvera en trame du bar à l’escalier. Préserver une intimité tout en jouant des transparences, voilà une bien jolie et féminine entrée en matière, du fer en l’occurrence, dont le délicat maillage jaune et orange répond aux couleurs des carreaux émaillés venus du Mexique. Pas moins de deux millions de pièces qui tapissent les six mille mètres carrés de sols ont permis la relance d’une fabrique traditionnelle qui périclitait.Puisque le haut demeure sacré – les plafonds ont d’ailleurs révélé durant les travaux de somptueux motifs du Moyen-âge – c’est par le bas que l’artiste Jorge Pardo va dérouler son histoire : colorée, joyeuse et métissée comme Cuba dont il est originaire et le Mexique où il réside une partie de l’année. Comment ne pas voir un clin d’oeil aux « piñâtas » dans les couleurs des nombreuses lampes en polycarbonate, ou encore une allusions aux « banderines » – ces guirlandes décoratives en papier très populaires durant la fête des morts – dans les motifs des trames métalliques découpées au laser ? Contrairement à de nombreux établissements qui axent leur décoration autour des pièces d’art contemporain, vous n’êtes pas ici spectateur mais invité à vivre dans une oeuvre tant l’univers de l’artiste s’exprime partout. C’est justement une “Gesamtkunstwerk” (terme allemand désignant une oeuvre d’art totale) que souhaitait la femme d’affaires et mécène Maja Hoffman.Déjà propriétaire, à travers sa société Les Maison d’Arles, d’établissements aux partis-pris créatifs clairement assumés (l’Hôtel du Cloître, la Chassagnette ou encore le Réfectoire sur le site de LUMA), elle souhaitait aller plus loin dans sa démarche artistique en donnant carte blanche à Jorge Pardo, suite à la visite de son projet Tecoh – ancienne ruine coloniale située dans la forêt primaire du Yucatan et réhabilitée en 2007, où l’on trouve déjà les éléments récurrents de l’esthétique de l’artiste : l’importance attachée aux luminaires, aux sols en patchwork de céramiques colorées ou encore aux garde-corps en résille métallique. A l’opposé du Less is more, on est ici dans l’emphase, l’accumulation de couleurs sans qu’il n’y ait, et c’est là la gageure, jamais saturation ni overdose. Des couloirs bleu layette, des chambres saumon, des armoires aux portes peintes (toutes des pièces uniques signées de l’artiste), des boutis aux tissus camarguais, les Caraïbes sont bien là, transpirant sur les murs de cette bâtisse séculaire qui se régénère gaiement dans ses trente-cinq vastes chambres et six appartements résidentiels.Les amoureux du design aussi seront à la fête, qui s’amuseront en promenant le regard à retrouver les signatures des belles pièces de mobiliers – Charlotte Perriand y côtoie Gio Ponti – provenant des collections privées de la propriétaire qui prennent place dans la salle à manger et les salons. Aux murs, on retrouve des photographies du film At Eternity’s Gates de Julian Schnabel, inspiré de la vie de Van Gogh et tourné en grande partie dans l’hôtel. Comment ne pas penser d’ailleurs aux tournesols et à la palette de couleurs franches de l’artiste maudit en se promenant dans les couloirs et coursives, décorés de bouquets de fleurs coupées, et de corbeilles de fruits disposées nonchalamment sur les rebords des fenêtres et qui ne semblent n’attendre qu’à être immortalisées.Si l’ancien patio provençal, transformé en paradis du farniente avec la création d’une piscine colorée bordée de plantes tropicales, offre en plein coeur de ville une touche d’exotisme, c’est vraiment dans ses intérieurs que l’Arlatan séduit le visiteur. Dans les chambres, la magie opère et les cheminées d’époque, les plafonds en bois et les murs de pierre sourds semblent comme réveillés par la frénésie de couleurs. L’élément le plus photographié sera à n’en pas douter la suspension vertigineuse tombant en grappes dans le puits du magnifique escalier jouxtant l’ancien mur antique dit “Hadrien”. On prend plaisir à se perdre dans les corridors débouchant ici sur une salle de sport équipée uniquement de machines en bois à propulsion mécanique, là sur un salon au panneau de bois peint d’une grande fresque qui fera office de salle de réunion. Pour le plus grand bonheur des arlésiens et des visiteurs qui n’auront pas la chance d’y séjourner, les parties dites “communes” comme le bar et le restaurant sont ouvertes à tous.Elaborée par Armand Arnal, le chef du restaurant-potager la Chassagnette situé non loin de là en plein coeur de la Camargue, la carte revisite avec un twist contemporain – dû en partie au beau dressage des assiettes – les recettes de familles d’hier et d’aujourd’hui avec des produits uniquement frais et de saisons. Les amateurs de minestrone ou de panisses seront aux anges, d’autant que la table peut s’enorgueillir d’être très accessible eut égard à la qualité du lieu. En plus du comptoir principal qui s’enjaille en pagaille lorsque les convives ont le sang chaud, on trouve au sous-sol un autre petit bar à cocktails aux lumières tamisées, idéal pour roucouler sur de douces mélodies. L’Arlatan a tant à offrir qu’on en reste vite prisonnier, mais tant qu’il y a de l’amour …INFORMATIONS PRATIQUESL’arlatan20, rue du Sauvage – 13200 Arles Du mardi au dimanche. de 8h à 23h T-0465882020 @larlatanCrédits © 2020 Texte – © Eric Foucher Photos – © Eric Foucher et Sébastien Coquerel Article issu de la Revue n°l selon ARCHIKVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADPHÉNOMÈNE GLAMPINGAncrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature.Contraction de “glamour” et “camping”, le glamping invite à découvrir des hébergements insolites aux quatre coins du monde : cabanes uniques en France sur l’eau, dans les arbres ou troglodytes… Ancrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature, et d’envisager une autre manière de vivre, ou en tout cas de voyager.Adepte du concept, ARCHIK vous livre ses meilleures adresses, à découvrir dès cet été ! Cabanes des Grands Cépages | La flottanteAu coeur des vignes de Châteauneuf-du-Pape dans le Vaucluse à quelques pas de la ville d’Avignon, le domaine des Cabanes des Grands Cépages propose des cabanes flottantes d’exception pour une nuit tout confort, en pleine nature ! A découvrir également les autres domaines du groupe : les Grands Chênes, les Grands Lacs, les Grands Reflets, autant de contextes propices à la déconnexion !Château Valmer | La haut-perchéeEn marge de ses villa de luxe, ce Relais & Château situé dans le Var propose deux cabanes perchées au coeur d’un chêne dans le parc du Château : un cadre intimiste où bouquiner à l’ombre des branches, sur la terrasse qui surplombe les vignes…Ventana Big Sur | L’aventurière Niché dans le canyon de Big Sur en Californie, au milieu de paysages à couper le souffle et accessible uniquement à pied, Ventana imagine une expérience de camping de luxe naturelle et immersive : matelas de glamping conçu sur mesure, linges de qualité supérieure, douches en teck et tente en toile de style safari…Tree Hotel | L’audacieuseIl faut se rendre en Suède pour dénicher les cabanes les plus innovantes : futuristes, invisibles ou panoramiques, chacun de ces refuges suspendus est signé par un architecte différent, ce qui les rend aussi uniques que surprenants.ON AIMESe reconnecter à la nature en tout confort !L’art du voyage en trainEn associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l'Orient Express retrouve aujourd'hui son prestige d'antanNous vous emmenons célébrer le nouvel an dans les plus belles villes d’Europe avec l’Orient-Express. À l’occasion de la sortie du nouveau film « Le Crime l’Orient-Express » librement adapté du roman policier d’Agatha Christie, nous avons voulu vous présenter ce train mythique, son histoire et ses actualités.Ce train de luxe créé par la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, assure depuis 1883 la liaison entre Paris, Vienne et Venise. À partir de 1919, d’autres capitales de l’Union Européenne sont également desservies, jusqu’à atteindre Istanbul en Turquie.Alors que dans les années 1920 le style « Orient-Express » atteint son apogée, après plusieurs changement d’itinéraires, deux guerres et l’abaissement continu de son prestige lors de la Guerre Froide, le train a perdu de sa notoriété.En renouant avec l’épopée technique, industrielle et artistique du train, l’Orient-Express renaît aujourd’hui dans un projet ambitieux. Le 4 octobre 2017, soit 134 ans jour pour jour après le lancement de l’Orient-Express, le groupe AccorHotels a pris une participation de 50 % dans la société Orient-Express au côté de la SNCF. L’Orient-Express va ainsi pouvoir développer une collection d’hôtel prestigieux sous l’enseigne éponyme et donc renforcer l’hôtellerie de luxe.En associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l’Orient Express retrouve aujourd’hui son prestige d’antan… et on est ravis!ON AIMEL’histoire et la légende de ce train mythique et ses actualités rendant hommage à sa prestance !INFORMATIONS PRATIQUESDécouvrez l’univers de l’Orient-Express iciHa(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
VILLE D’HIVERRedonner vie à un lieu laissé pour compte est un magnifique pari. Ancienne usine de la Compagnie Générale des Eaux d’Arcachon reconvertie en hôtel, la Ville d’Hiver promet un véritable bond hors du temps.L’âme de la Ville d’Hiver est palpable – celle de l’hôtel tout autant que celle du quartier qui lui donne son nom. A l’heure où la maison souffle ses dix premières bougies, elle offre un séjour à travers les siècles. Une fois sa voiture garée, son train débarqué et ses valises posées, il suffit au visiteur de se laisser porter. Ici, tout se découvre à pied. On rejoint la mer en dix minutes, tandis que la forêt de pins jouxte directement la propriété. Le quartier, résidentiel, est un havre de paix du plus bel effet qui porte dans sa mémoire plus de cent ans d’histoire.Retour dans le passé. En 1865, Emile et Isaac Pereire, entrepreneurs des chemins de fer, fleurent l’explosion du tourisme sur le Bassin d’Arcachon. Alors que la ville triple sa population en été, les deux frères cherchent à rentabiliser leur investissement 365 jours par an. Une idée ne tarde pas à germer : à une époque où la pénicilline n’a pas encore été découverte, les sanatoriums sont encore ce qu’il se fait de mieux pour soulager les tuberculeux. La côte Atlantique n’en compte alors aucun. Eurêka ! Plus de 300 villas cossues destinées aux malades et à leurs – riches – familles sortiront de terre en un temps record sur les hauteurs d’Arcachon. Bienvenue à la Ville d’Hiver.En 2020, le quartier n’a rien perdu de sa superbe – seulement ses malades. Au gré d’une balade le long de ses petites rues sinueuses – on dit qu’elles ont été dessinées afin d’empêcher tout courant d’air de se créer, nocifs pour les tuberculeux – une architecture singulière se dévoile. Pas une maison ne se ressemble trait pour trait ! Ce joyeux pêle-mêle hybride emprunte aux styles néo-gothique, mauresque, à la maison coloniale et même au chalet suisse leurs attributs distinctifs qui donnent son caractère unique à chaque villa. Ces maisons, que l’on dit “arcachonnaises”, et leur quartier, sont aujourd’hui inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques de France.C’est donc au cœur de cette ville dans la ville que se sont installés Nathalène et Olivier Arnoux. Leur hôtel, ils l’ont découvert sous les ronces. S’ils pensaient s’établir du côté du Cap Ferret, ils tombent sous le charme de l’ancienne usine élévatrice de la Compagnie Générale des Eaux, édifiée en 1884 et propriété de la mairie depuis sa mise hors-service. Le bâtiment est nu, en friche, dépourvu de vie. Le pari est de taille : faire revivre tout un pan de l’histoire d’Arcachon. En 2009, après dix mois de travaux, le couple inaugure un hôtel flambant neuf, qui semble avoir pourtant toujours existé. Si l’usine abrite désormais les lieux de vie communs, ce sont bien dans deux nouveaux bâtiments créés ex-nihilo que s’imbriquent les chambres. Un tour de force pour l’architecte Emmanuel Graffeuil qui, un siècle plus tard, a su redessiner les contours de l’architecture sans pareille du quartier. Une villa d’époque adjacente à la propriété complète l’offre d’hébergement qui comprend dix chambres, en tout.Conjuguant les styles et les époques, l’hôtel la Ville d’Hiver semblerait dater lui aussi de 1884, sans paraitre démodé. Prônant une esthétique intemporelle, les lieux se parent d’un savant mélange de rééditions de design du début du siècle, avec notamment une belle sélection de mobilier de l’éditeur danois Gubi, qui apporte la juste touche de modernité, et de meubles chinés sur les brocantes ou dans les greniers familiaux. Les murs s’habillent de toiles d’artistes locaux ou de reproductions authentiques de grands maîtres. Le bois vient se frotter au cuir, les tissus irlandais jonchent les banquettes, la couleur s’étale sur de grands tapis et de larges bouquets de fleurs. Avec un peu de flair, on se surprend à déceler un côté british à l’ensemble, le mariage des couleurs – sols bleu roi par-ci, touches audacieuse de vert, de violet et de magenta par là – faisant foi d’un certain anticonformisme. Touché : Nathalène Arnoux est une fervente amatrice du style éclectique des intérieurs d’Outre-Manche.Autre fait marquant à la Ville d’Hiver : la douceur de son atmosphère. Réminiscence du passé curatif du quartier ou véritable état d’esprit, tout n’est que quiétude. L’écrin, certes, y est pour quelque chose : les moquettes au sol adoucissent les pas, le bois omniprésent rappelle les maisons de famille, la lumière – du jour ou artificielle – saupoudre le tout d’une chaleur irrésistible. Les services n’en déçoivent pas moins. L’accueil se fait avec le sourire aux lèvres, grâce à un personnel fidèle à la maison depuis son ouverture. Le restaurant, un bistronomique, sert une cuisine authentique et généreuse où les locaux se rendent souvent en pèlerinage – l’adresse est une des meilleures d’Arcachon. Le spa, co-créé avec la marque de cosmétiques éco-responsables et naturels Dr. Hauschka, prolonge la détente avec des soins du visage et des massages de haut vol, couronnés d’un hammam. L’option piscine est aussi des plus délectables : creusée dans l’ancienne cuve de l’usine des eaux, elle se trouve à l’abri des courants d’air, comme cachée sous une marée d’herbes folles. Après quelques brasses toniques, on se love dans les fauteuils style Strandkorb, ou “corbeille de plage”, très appréciées des plages fraîches d’Europe du Nord, idéals pour se perdre dans l’intrigue d’un bon livre.Profondément culturel, l’hôtel aime convier ceux qui placent l’art au coeur de leurs vies. Les expositions de photos et de peintures s’enchaînent mais ne se ressemblent pas. On croise dans les couloirs des écrivains assignés à résidence – l’hôtel édite des recueils de nouvelles régulièrement. Les pièces de décoration ont souvent une histoire, à l’instar de ces vases exposés dans le salon, façonnés par un surfeur rencontré sur une plage de Californie. L’été, c’est au bord de la piscine que l’on s’attarde pour écouter un concert a capella. À l’image de sa première vie, la Ville d’Hiver revigore et apaise corps et esprits.INFORMATIONS PRATIQUES20 avenue Victor Hugo 33120 Arcachon 05 56 66 10 36 @hotelvilledhiver Photographe – Alexis Atteret Texte – Fanny LiauxL’ARLATANC’est à un carambolage spectaculaire de couleurs et d’époques que nous convie l’artiste Jorge Pardo dans un hôtel du XVème siècle au centre d’Arles entièrement transfiguré.Comme dans tous les palais et belles demeures arlésiennes, l’extérieur est trompeur : massif et rude comme le mistral balayant le delta du Rhône. L’hôtel d’Arlatan (du nom d’un riche intendant du Roy René) n’échappe pas à la règle, et le classement d’une partie du site aux Monuments Historiques a nécessité de s’accommoder de ces murs épais, ces petites ouvertures et ces plafonds bois à encaissement très hauts. “De la contrainte naît la créativité” dit l’adage et c’est justement ce que l’on découvre en caressant le déshabillé en résille qui orne l’entrée, et que l’on retrouvera en trame du bar à l’escalier. Préserver une intimité tout en jouant des transparences, voilà une bien jolie et féminine entrée en matière, du fer en l’occurrence, dont le délicat maillage jaune et orange répond aux couleurs des carreaux émaillés venus du Mexique. Pas moins de deux millions de pièces qui tapissent les six mille mètres carrés de sols ont permis la relance d’une fabrique traditionnelle qui périclitait.Puisque le haut demeure sacré – les plafonds ont d’ailleurs révélé durant les travaux de somptueux motifs du Moyen-âge – c’est par le bas que l’artiste Jorge Pardo va dérouler son histoire : colorée, joyeuse et métissée comme Cuba dont il est originaire et le Mexique où il réside une partie de l’année. Comment ne pas voir un clin d’oeil aux « piñâtas » dans les couleurs des nombreuses lampes en polycarbonate, ou encore une allusions aux « banderines » – ces guirlandes décoratives en papier très populaires durant la fête des morts – dans les motifs des trames métalliques découpées au laser ? Contrairement à de nombreux établissements qui axent leur décoration autour des pièces d’art contemporain, vous n’êtes pas ici spectateur mais invité à vivre dans une oeuvre tant l’univers de l’artiste s’exprime partout. C’est justement une “Gesamtkunstwerk” (terme allemand désignant une oeuvre d’art totale) que souhaitait la femme d’affaires et mécène Maja Hoffman.Déjà propriétaire, à travers sa société Les Maison d’Arles, d’établissements aux partis-pris créatifs clairement assumés (l’Hôtel du Cloître, la Chassagnette ou encore le Réfectoire sur le site de LUMA), elle souhaitait aller plus loin dans sa démarche artistique en donnant carte blanche à Jorge Pardo, suite à la visite de son projet Tecoh – ancienne ruine coloniale située dans la forêt primaire du Yucatan et réhabilitée en 2007, où l’on trouve déjà les éléments récurrents de l’esthétique de l’artiste : l’importance attachée aux luminaires, aux sols en patchwork de céramiques colorées ou encore aux garde-corps en résille métallique. A l’opposé du Less is more, on est ici dans l’emphase, l’accumulation de couleurs sans qu’il n’y ait, et c’est là la gageure, jamais saturation ni overdose. Des couloirs bleu layette, des chambres saumon, des armoires aux portes peintes (toutes des pièces uniques signées de l’artiste), des boutis aux tissus camarguais, les Caraïbes sont bien là, transpirant sur les murs de cette bâtisse séculaire qui se régénère gaiement dans ses trente-cinq vastes chambres et six appartements résidentiels.Les amoureux du design aussi seront à la fête, qui s’amuseront en promenant le regard à retrouver les signatures des belles pièces de mobiliers – Charlotte Perriand y côtoie Gio Ponti – provenant des collections privées de la propriétaire qui prennent place dans la salle à manger et les salons. Aux murs, on retrouve des photographies du film At Eternity’s Gates de Julian Schnabel, inspiré de la vie de Van Gogh et tourné en grande partie dans l’hôtel. Comment ne pas penser d’ailleurs aux tournesols et à la palette de couleurs franches de l’artiste maudit en se promenant dans les couloirs et coursives, décorés de bouquets de fleurs coupées, et de corbeilles de fruits disposées nonchalamment sur les rebords des fenêtres et qui ne semblent n’attendre qu’à être immortalisées.Si l’ancien patio provençal, transformé en paradis du farniente avec la création d’une piscine colorée bordée de plantes tropicales, offre en plein coeur de ville une touche d’exotisme, c’est vraiment dans ses intérieurs que l’Arlatan séduit le visiteur. Dans les chambres, la magie opère et les cheminées d’époque, les plafonds en bois et les murs de pierre sourds semblent comme réveillés par la frénésie de couleurs. L’élément le plus photographié sera à n’en pas douter la suspension vertigineuse tombant en grappes dans le puits du magnifique escalier jouxtant l’ancien mur antique dit “Hadrien”. On prend plaisir à se perdre dans les corridors débouchant ici sur une salle de sport équipée uniquement de machines en bois à propulsion mécanique, là sur un salon au panneau de bois peint d’une grande fresque qui fera office de salle de réunion. Pour le plus grand bonheur des arlésiens et des visiteurs qui n’auront pas la chance d’y séjourner, les parties dites “communes” comme le bar et le restaurant sont ouvertes à tous.Elaborée par Armand Arnal, le chef du restaurant-potager la Chassagnette situé non loin de là en plein coeur de la Camargue, la carte revisite avec un twist contemporain – dû en partie au beau dressage des assiettes – les recettes de familles d’hier et d’aujourd’hui avec des produits uniquement frais et de saisons. Les amateurs de minestrone ou de panisses seront aux anges, d’autant que la table peut s’enorgueillir d’être très accessible eut égard à la qualité du lieu. En plus du comptoir principal qui s’enjaille en pagaille lorsque les convives ont le sang chaud, on trouve au sous-sol un autre petit bar à cocktails aux lumières tamisées, idéal pour roucouler sur de douces mélodies. L’Arlatan a tant à offrir qu’on en reste vite prisonnier, mais tant qu’il y a de l’amour …INFORMATIONS PRATIQUESL’arlatan20, rue du Sauvage – 13200 Arles Du mardi au dimanche. de 8h à 23h T-0465882020 @larlatanCrédits © 2020 Texte – © Eric Foucher Photos – © Eric Foucher et Sébastien Coquerel Article issu de la Revue n°l selon ARCHIKVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADPHÉNOMÈNE GLAMPINGAncrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature.Contraction de “glamour” et “camping”, le glamping invite à découvrir des hébergements insolites aux quatre coins du monde : cabanes uniques en France sur l’eau, dans les arbres ou troglodytes… Ancrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature, et d’envisager une autre manière de vivre, ou en tout cas de voyager.Adepte du concept, ARCHIK vous livre ses meilleures adresses, à découvrir dès cet été ! Cabanes des Grands Cépages | La flottanteAu coeur des vignes de Châteauneuf-du-Pape dans le Vaucluse à quelques pas de la ville d’Avignon, le domaine des Cabanes des Grands Cépages propose des cabanes flottantes d’exception pour une nuit tout confort, en pleine nature ! A découvrir également les autres domaines du groupe : les Grands Chênes, les Grands Lacs, les Grands Reflets, autant de contextes propices à la déconnexion !Château Valmer | La haut-perchéeEn marge de ses villa de luxe, ce Relais & Château situé dans le Var propose deux cabanes perchées au coeur d’un chêne dans le parc du Château : un cadre intimiste où bouquiner à l’ombre des branches, sur la terrasse qui surplombe les vignes…Ventana Big Sur | L’aventurière Niché dans le canyon de Big Sur en Californie, au milieu de paysages à couper le souffle et accessible uniquement à pied, Ventana imagine une expérience de camping de luxe naturelle et immersive : matelas de glamping conçu sur mesure, linges de qualité supérieure, douches en teck et tente en toile de style safari…Tree Hotel | L’audacieuseIl faut se rendre en Suède pour dénicher les cabanes les plus innovantes : futuristes, invisibles ou panoramiques, chacun de ces refuges suspendus est signé par un architecte différent, ce qui les rend aussi uniques que surprenants.ON AIMESe reconnecter à la nature en tout confort !L’art du voyage en trainEn associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l'Orient Express retrouve aujourd'hui son prestige d'antanNous vous emmenons célébrer le nouvel an dans les plus belles villes d’Europe avec l’Orient-Express. À l’occasion de la sortie du nouveau film « Le Crime l’Orient-Express » librement adapté du roman policier d’Agatha Christie, nous avons voulu vous présenter ce train mythique, son histoire et ses actualités.Ce train de luxe créé par la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, assure depuis 1883 la liaison entre Paris, Vienne et Venise. À partir de 1919, d’autres capitales de l’Union Européenne sont également desservies, jusqu’à atteindre Istanbul en Turquie.Alors que dans les années 1920 le style « Orient-Express » atteint son apogée, après plusieurs changement d’itinéraires, deux guerres et l’abaissement continu de son prestige lors de la Guerre Froide, le train a perdu de sa notoriété.En renouant avec l’épopée technique, industrielle et artistique du train, l’Orient-Express renaît aujourd’hui dans un projet ambitieux. Le 4 octobre 2017, soit 134 ans jour pour jour après le lancement de l’Orient-Express, le groupe AccorHotels a pris une participation de 50 % dans la société Orient-Express au côté de la SNCF. L’Orient-Express va ainsi pouvoir développer une collection d’hôtel prestigieux sous l’enseigne éponyme et donc renforcer l’hôtellerie de luxe.En associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l’Orient Express retrouve aujourd’hui son prestige d’antan… et on est ravis!ON AIMEL’histoire et la légende de ce train mythique et ses actualités rendant hommage à sa prestance !INFORMATIONS PRATIQUESDécouvrez l’univers de l’Orient-Express iciHa(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
L’ARLATANC’est à un carambolage spectaculaire de couleurs et d’époques que nous convie l’artiste Jorge Pardo dans un hôtel du XVème siècle au centre d’Arles entièrement transfiguré.Comme dans tous les palais et belles demeures arlésiennes, l’extérieur est trompeur : massif et rude comme le mistral balayant le delta du Rhône. L’hôtel d’Arlatan (du nom d’un riche intendant du Roy René) n’échappe pas à la règle, et le classement d’une partie du site aux Monuments Historiques a nécessité de s’accommoder de ces murs épais, ces petites ouvertures et ces plafonds bois à encaissement très hauts. “De la contrainte naît la créativité” dit l’adage et c’est justement ce que l’on découvre en caressant le déshabillé en résille qui orne l’entrée, et que l’on retrouvera en trame du bar à l’escalier. Préserver une intimité tout en jouant des transparences, voilà une bien jolie et féminine entrée en matière, du fer en l’occurrence, dont le délicat maillage jaune et orange répond aux couleurs des carreaux émaillés venus du Mexique. Pas moins de deux millions de pièces qui tapissent les six mille mètres carrés de sols ont permis la relance d’une fabrique traditionnelle qui périclitait.Puisque le haut demeure sacré – les plafonds ont d’ailleurs révélé durant les travaux de somptueux motifs du Moyen-âge – c’est par le bas que l’artiste Jorge Pardo va dérouler son histoire : colorée, joyeuse et métissée comme Cuba dont il est originaire et le Mexique où il réside une partie de l’année. Comment ne pas voir un clin d’oeil aux « piñâtas » dans les couleurs des nombreuses lampes en polycarbonate, ou encore une allusions aux « banderines » – ces guirlandes décoratives en papier très populaires durant la fête des morts – dans les motifs des trames métalliques découpées au laser ? Contrairement à de nombreux établissements qui axent leur décoration autour des pièces d’art contemporain, vous n’êtes pas ici spectateur mais invité à vivre dans une oeuvre tant l’univers de l’artiste s’exprime partout. C’est justement une “Gesamtkunstwerk” (terme allemand désignant une oeuvre d’art totale) que souhaitait la femme d’affaires et mécène Maja Hoffman.Déjà propriétaire, à travers sa société Les Maison d’Arles, d’établissements aux partis-pris créatifs clairement assumés (l’Hôtel du Cloître, la Chassagnette ou encore le Réfectoire sur le site de LUMA), elle souhaitait aller plus loin dans sa démarche artistique en donnant carte blanche à Jorge Pardo, suite à la visite de son projet Tecoh – ancienne ruine coloniale située dans la forêt primaire du Yucatan et réhabilitée en 2007, où l’on trouve déjà les éléments récurrents de l’esthétique de l’artiste : l’importance attachée aux luminaires, aux sols en patchwork de céramiques colorées ou encore aux garde-corps en résille métallique. A l’opposé du Less is more, on est ici dans l’emphase, l’accumulation de couleurs sans qu’il n’y ait, et c’est là la gageure, jamais saturation ni overdose. Des couloirs bleu layette, des chambres saumon, des armoires aux portes peintes (toutes des pièces uniques signées de l’artiste), des boutis aux tissus camarguais, les Caraïbes sont bien là, transpirant sur les murs de cette bâtisse séculaire qui se régénère gaiement dans ses trente-cinq vastes chambres et six appartements résidentiels.Les amoureux du design aussi seront à la fête, qui s’amuseront en promenant le regard à retrouver les signatures des belles pièces de mobiliers – Charlotte Perriand y côtoie Gio Ponti – provenant des collections privées de la propriétaire qui prennent place dans la salle à manger et les salons. Aux murs, on retrouve des photographies du film At Eternity’s Gates de Julian Schnabel, inspiré de la vie de Van Gogh et tourné en grande partie dans l’hôtel. Comment ne pas penser d’ailleurs aux tournesols et à la palette de couleurs franches de l’artiste maudit en se promenant dans les couloirs et coursives, décorés de bouquets de fleurs coupées, et de corbeilles de fruits disposées nonchalamment sur les rebords des fenêtres et qui ne semblent n’attendre qu’à être immortalisées.Si l’ancien patio provençal, transformé en paradis du farniente avec la création d’une piscine colorée bordée de plantes tropicales, offre en plein coeur de ville une touche d’exotisme, c’est vraiment dans ses intérieurs que l’Arlatan séduit le visiteur. Dans les chambres, la magie opère et les cheminées d’époque, les plafonds en bois et les murs de pierre sourds semblent comme réveillés par la frénésie de couleurs. L’élément le plus photographié sera à n’en pas douter la suspension vertigineuse tombant en grappes dans le puits du magnifique escalier jouxtant l’ancien mur antique dit “Hadrien”. On prend plaisir à se perdre dans les corridors débouchant ici sur une salle de sport équipée uniquement de machines en bois à propulsion mécanique, là sur un salon au panneau de bois peint d’une grande fresque qui fera office de salle de réunion. Pour le plus grand bonheur des arlésiens et des visiteurs qui n’auront pas la chance d’y séjourner, les parties dites “communes” comme le bar et le restaurant sont ouvertes à tous.Elaborée par Armand Arnal, le chef du restaurant-potager la Chassagnette situé non loin de là en plein coeur de la Camargue, la carte revisite avec un twist contemporain – dû en partie au beau dressage des assiettes – les recettes de familles d’hier et d’aujourd’hui avec des produits uniquement frais et de saisons. Les amateurs de minestrone ou de panisses seront aux anges, d’autant que la table peut s’enorgueillir d’être très accessible eut égard à la qualité du lieu. En plus du comptoir principal qui s’enjaille en pagaille lorsque les convives ont le sang chaud, on trouve au sous-sol un autre petit bar à cocktails aux lumières tamisées, idéal pour roucouler sur de douces mélodies. L’Arlatan a tant à offrir qu’on en reste vite prisonnier, mais tant qu’il y a de l’amour …INFORMATIONS PRATIQUESL’arlatan20, rue du Sauvage – 13200 Arles Du mardi au dimanche. de 8h à 23h T-0465882020 @larlatanCrédits © 2020 Texte – © Eric Foucher Photos – © Eric Foucher et Sébastien Coquerel Article issu de la Revue n°l selon ARCHIKVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADPHÉNOMÈNE GLAMPINGAncrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature.Contraction de “glamour” et “camping”, le glamping invite à découvrir des hébergements insolites aux quatre coins du monde : cabanes uniques en France sur l’eau, dans les arbres ou troglodytes… Ancrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature, et d’envisager une autre manière de vivre, ou en tout cas de voyager.Adepte du concept, ARCHIK vous livre ses meilleures adresses, à découvrir dès cet été ! Cabanes des Grands Cépages | La flottanteAu coeur des vignes de Châteauneuf-du-Pape dans le Vaucluse à quelques pas de la ville d’Avignon, le domaine des Cabanes des Grands Cépages propose des cabanes flottantes d’exception pour une nuit tout confort, en pleine nature ! A découvrir également les autres domaines du groupe : les Grands Chênes, les Grands Lacs, les Grands Reflets, autant de contextes propices à la déconnexion !Château Valmer | La haut-perchéeEn marge de ses villa de luxe, ce Relais & Château situé dans le Var propose deux cabanes perchées au coeur d’un chêne dans le parc du Château : un cadre intimiste où bouquiner à l’ombre des branches, sur la terrasse qui surplombe les vignes…Ventana Big Sur | L’aventurière Niché dans le canyon de Big Sur en Californie, au milieu de paysages à couper le souffle et accessible uniquement à pied, Ventana imagine une expérience de camping de luxe naturelle et immersive : matelas de glamping conçu sur mesure, linges de qualité supérieure, douches en teck et tente en toile de style safari…Tree Hotel | L’audacieuseIl faut se rendre en Suède pour dénicher les cabanes les plus innovantes : futuristes, invisibles ou panoramiques, chacun de ces refuges suspendus est signé par un architecte différent, ce qui les rend aussi uniques que surprenants.ON AIMESe reconnecter à la nature en tout confort !L’art du voyage en trainEn associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l'Orient Express retrouve aujourd'hui son prestige d'antanNous vous emmenons célébrer le nouvel an dans les plus belles villes d’Europe avec l’Orient-Express. À l’occasion de la sortie du nouveau film « Le Crime l’Orient-Express » librement adapté du roman policier d’Agatha Christie, nous avons voulu vous présenter ce train mythique, son histoire et ses actualités.Ce train de luxe créé par la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, assure depuis 1883 la liaison entre Paris, Vienne et Venise. À partir de 1919, d’autres capitales de l’Union Européenne sont également desservies, jusqu’à atteindre Istanbul en Turquie.Alors que dans les années 1920 le style « Orient-Express » atteint son apogée, après plusieurs changement d’itinéraires, deux guerres et l’abaissement continu de son prestige lors de la Guerre Froide, le train a perdu de sa notoriété.En renouant avec l’épopée technique, industrielle et artistique du train, l’Orient-Express renaît aujourd’hui dans un projet ambitieux. Le 4 octobre 2017, soit 134 ans jour pour jour après le lancement de l’Orient-Express, le groupe AccorHotels a pris une participation de 50 % dans la société Orient-Express au côté de la SNCF. L’Orient-Express va ainsi pouvoir développer une collection d’hôtel prestigieux sous l’enseigne éponyme et donc renforcer l’hôtellerie de luxe.En associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l’Orient Express retrouve aujourd’hui son prestige d’antan… et on est ravis!ON AIMEL’histoire et la légende de ce train mythique et ses actualités rendant hommage à sa prestance !INFORMATIONS PRATIQUESDécouvrez l’univers de l’Orient-Express iciHa(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
VILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADPHÉNOMÈNE GLAMPINGAncrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature.Contraction de “glamour” et “camping”, le glamping invite à découvrir des hébergements insolites aux quatre coins du monde : cabanes uniques en France sur l’eau, dans les arbres ou troglodytes… Ancrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature, et d’envisager une autre manière de vivre, ou en tout cas de voyager.Adepte du concept, ARCHIK vous livre ses meilleures adresses, à découvrir dès cet été ! Cabanes des Grands Cépages | La flottanteAu coeur des vignes de Châteauneuf-du-Pape dans le Vaucluse à quelques pas de la ville d’Avignon, le domaine des Cabanes des Grands Cépages propose des cabanes flottantes d’exception pour une nuit tout confort, en pleine nature ! A découvrir également les autres domaines du groupe : les Grands Chênes, les Grands Lacs, les Grands Reflets, autant de contextes propices à la déconnexion !Château Valmer | La haut-perchéeEn marge de ses villa de luxe, ce Relais & Château situé dans le Var propose deux cabanes perchées au coeur d’un chêne dans le parc du Château : un cadre intimiste où bouquiner à l’ombre des branches, sur la terrasse qui surplombe les vignes…Ventana Big Sur | L’aventurière Niché dans le canyon de Big Sur en Californie, au milieu de paysages à couper le souffle et accessible uniquement à pied, Ventana imagine une expérience de camping de luxe naturelle et immersive : matelas de glamping conçu sur mesure, linges de qualité supérieure, douches en teck et tente en toile de style safari…Tree Hotel | L’audacieuseIl faut se rendre en Suède pour dénicher les cabanes les plus innovantes : futuristes, invisibles ou panoramiques, chacun de ces refuges suspendus est signé par un architecte différent, ce qui les rend aussi uniques que surprenants.ON AIMESe reconnecter à la nature en tout confort !L’art du voyage en trainEn associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l'Orient Express retrouve aujourd'hui son prestige d'antanNous vous emmenons célébrer le nouvel an dans les plus belles villes d’Europe avec l’Orient-Express. À l’occasion de la sortie du nouveau film « Le Crime l’Orient-Express » librement adapté du roman policier d’Agatha Christie, nous avons voulu vous présenter ce train mythique, son histoire et ses actualités.Ce train de luxe créé par la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, assure depuis 1883 la liaison entre Paris, Vienne et Venise. À partir de 1919, d’autres capitales de l’Union Européenne sont également desservies, jusqu’à atteindre Istanbul en Turquie.Alors que dans les années 1920 le style « Orient-Express » atteint son apogée, après plusieurs changement d’itinéraires, deux guerres et l’abaissement continu de son prestige lors de la Guerre Froide, le train a perdu de sa notoriété.En renouant avec l’épopée technique, industrielle et artistique du train, l’Orient-Express renaît aujourd’hui dans un projet ambitieux. Le 4 octobre 2017, soit 134 ans jour pour jour après le lancement de l’Orient-Express, le groupe AccorHotels a pris une participation de 50 % dans la société Orient-Express au côté de la SNCF. L’Orient-Express va ainsi pouvoir développer une collection d’hôtel prestigieux sous l’enseigne éponyme et donc renforcer l’hôtellerie de luxe.En associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l’Orient Express retrouve aujourd’hui son prestige d’antan… et on est ravis!ON AIMEL’histoire et la légende de ce train mythique et ses actualités rendant hommage à sa prestance !INFORMATIONS PRATIQUESDécouvrez l’univers de l’Orient-Express iciHa(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
PHÉNOMÈNE GLAMPINGAncrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature.Contraction de “glamour” et “camping”, le glamping invite à découvrir des hébergements insolites aux quatre coins du monde : cabanes uniques en France sur l’eau, dans les arbres ou troglodytes… Ancrés dans leur paysage local, ces refuges le plus souvent éco-responsables permettent de se reconnecter à la nature, et d’envisager une autre manière de vivre, ou en tout cas de voyager.Adepte du concept, ARCHIK vous livre ses meilleures adresses, à découvrir dès cet été ! Cabanes des Grands Cépages | La flottanteAu coeur des vignes de Châteauneuf-du-Pape dans le Vaucluse à quelques pas de la ville d’Avignon, le domaine des Cabanes des Grands Cépages propose des cabanes flottantes d’exception pour une nuit tout confort, en pleine nature ! A découvrir également les autres domaines du groupe : les Grands Chênes, les Grands Lacs, les Grands Reflets, autant de contextes propices à la déconnexion !Château Valmer | La haut-perchéeEn marge de ses villa de luxe, ce Relais & Château situé dans le Var propose deux cabanes perchées au coeur d’un chêne dans le parc du Château : un cadre intimiste où bouquiner à l’ombre des branches, sur la terrasse qui surplombe les vignes…Ventana Big Sur | L’aventurière Niché dans le canyon de Big Sur en Californie, au milieu de paysages à couper le souffle et accessible uniquement à pied, Ventana imagine une expérience de camping de luxe naturelle et immersive : matelas de glamping conçu sur mesure, linges de qualité supérieure, douches en teck et tente en toile de style safari…Tree Hotel | L’audacieuseIl faut se rendre en Suède pour dénicher les cabanes les plus innovantes : futuristes, invisibles ou panoramiques, chacun de ces refuges suspendus est signé par un architecte différent, ce qui les rend aussi uniques que surprenants.ON AIMESe reconnecter à la nature en tout confort !L’art du voyage en trainEn associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l'Orient Express retrouve aujourd'hui son prestige d'antanNous vous emmenons célébrer le nouvel an dans les plus belles villes d’Europe avec l’Orient-Express. À l’occasion de la sortie du nouveau film « Le Crime l’Orient-Express » librement adapté du roman policier d’Agatha Christie, nous avons voulu vous présenter ce train mythique, son histoire et ses actualités.Ce train de luxe créé par la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, assure depuis 1883 la liaison entre Paris, Vienne et Venise. À partir de 1919, d’autres capitales de l’Union Européenne sont également desservies, jusqu’à atteindre Istanbul en Turquie.Alors que dans les années 1920 le style « Orient-Express » atteint son apogée, après plusieurs changement d’itinéraires, deux guerres et l’abaissement continu de son prestige lors de la Guerre Froide, le train a perdu de sa notoriété.En renouant avec l’épopée technique, industrielle et artistique du train, l’Orient-Express renaît aujourd’hui dans un projet ambitieux. Le 4 octobre 2017, soit 134 ans jour pour jour après le lancement de l’Orient-Express, le groupe AccorHotels a pris une participation de 50 % dans la société Orient-Express au côté de la SNCF. L’Orient-Express va ainsi pouvoir développer une collection d’hôtel prestigieux sous l’enseigne éponyme et donc renforcer l’hôtellerie de luxe.En associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l’Orient Express retrouve aujourd’hui son prestige d’antan… et on est ravis!ON AIMEL’histoire et la légende de ce train mythique et ses actualités rendant hommage à sa prestance !INFORMATIONS PRATIQUESDécouvrez l’univers de l’Orient-Express iciHa(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
L’art du voyage en trainEn associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l'Orient Express retrouve aujourd'hui son prestige d'antanNous vous emmenons célébrer le nouvel an dans les plus belles villes d’Europe avec l’Orient-Express. À l’occasion de la sortie du nouveau film « Le Crime l’Orient-Express » librement adapté du roman policier d’Agatha Christie, nous avons voulu vous présenter ce train mythique, son histoire et ses actualités.Ce train de luxe créé par la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, assure depuis 1883 la liaison entre Paris, Vienne et Venise. À partir de 1919, d’autres capitales de l’Union Européenne sont également desservies, jusqu’à atteindre Istanbul en Turquie.Alors que dans les années 1920 le style « Orient-Express » atteint son apogée, après plusieurs changement d’itinéraires, deux guerres et l’abaissement continu de son prestige lors de la Guerre Froide, le train a perdu de sa notoriété.En renouant avec l’épopée technique, industrielle et artistique du train, l’Orient-Express renaît aujourd’hui dans un projet ambitieux. Le 4 octobre 2017, soit 134 ans jour pour jour après le lancement de l’Orient-Express, le groupe AccorHotels a pris une participation de 50 % dans la société Orient-Express au côté de la SNCF. L’Orient-Express va ainsi pouvoir développer une collection d’hôtel prestigieux sous l’enseigne éponyme et donc renforcer l’hôtellerie de luxe.En associant une collection de lieux rares, d’expériences inédites et d’objets remarquables, l’Orient Express retrouve aujourd’hui son prestige d’antan… et on est ravis!ON AIMEL’histoire et la légende de ce train mythique et ses actualités rendant hommage à sa prestance !INFORMATIONS PRATIQUESDécouvrez l’univers de l’Orient-Express iciHa(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
Ha(a)ïtzaL’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage.HA(A)ÏTZA (roc en basque) est le dernier né du cultissime designer Philippe Starck et le petit frère du célébre hôtel la CO(O)RNICHE. Finalisé il y a un peu moins d’un an, Starck fait (re)naître cette adresse emblématique à la façade à colombage des années 30 au style néo-basque. Entre la dune et la mer, l’hôtel est entouré de la pinède : une adresse intime et conviviale.Construit en 1930 par le visionnaire Louis Gaume, cet hôtel obtient rapidement une notoriété et y voit séjourner des personnalités telles que la couturière Jeanne Lanvin, Charles Trenet ou encore la Famille Rothschild.Animé par la volonté de préserver et de faire revivre l’esprit des lieux, Sophie et William Techoueyres (international de rugby, restaurateur et ancien propriétaire du casino d’Arcachon) poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin en s’entourant à nouveaux de Philippe Starck pour insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza en lui rendant son panache d’antan.L’hôtel se pare de plusieurs univers à la personnalité assumée invitant au voyage. Ainsi le salon cosy et chaleureux s’orne de souvenirs d’Afrique, de trophées, de photos et d’objets de famille et invite à la convivialité. L’espace de réception quant à lui est immaculé, minimal tel le « white cube » d’une galerie avec ses œuvres d’art. La réception de l’hôtel est illuminée par les vitraux colorés réalisés par Ara Starck, une œuvre d’art vivant au rythme de la lumière.HA(A)ÏTZA propose 38 chambres dont de confortables suites et appartements qui s’habillent de tons blancs, de bois clairs réchauffés par des touches d’inox dans un style éclectique et raffiné.Comble du luxe, l’hôtel jouit également d’une piscine sous verrière ouvrante, d’un spa au soin REN, d’un salon de coiffure, d’une salle de sport, d’une boutique et d’une salle de conférence. Quant à la partie restauration l’hôtel dispose du restaurant, le Skiff Club, où en cuisine Stéphane Carrade a déjà décroché en tout juste 6 mois une étoile au guide Michelin, du café HA(A)ÏTZA en face de l’hôtel pour un brunch le dimanche ou un déjeuner post surf, d’un sublime bar à cocktail, d’une pâtisserie aux mille couleurs et d’un salon de thé aux infusions et thés bio.ON AIMESon emplacement privilégié à 2 pas de la dune du Pyla, son patrimoine dynamisé d’une belle modernité et ses univers fantastiques.INFORMATIONS PRATIQUESHÔTEL HA(A)ÏTZA1 avenue Louis Gaume 33115 Pyla-sur-Mer contact@haaitza.comDécouvrez l’hôtel ici Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
Hôtel il SerenoL'hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême.Du Lac de Côme, on connaissait déjà les villages mondialement connus, les villas somptueuses à l’architecture typique, les hôtels de luxe façon grandes dames tel que la Villa d’Este, ou le Grand Hotel Villa Serbelloni… il faudra désormais compter avec Il Sereno Lago di Como, une nouvelle adresse intimiste & chic sur ces berges mythiques.Pour faire aboutir leur projet d’« hôtel ultra-luxe » sur les rives du Lario, les propriétaires du Sereno ont fait appel à Patricia Urquiola. L’architecte d’intérieur, reconnue aussi bien pour ses collaborations avec les plus grandes maisons de design et de mobilier (B&B Italia, Alessi, Kartell), de mode (Louis Vuitton, Missoni) que pour son travail dans l’hôtellerie de luxe (Mandarin Oriental Barcelona, The Edition Barcelona…), a signé le décor contemporain qui caractérise ce nouveau Sereno transalpin.Elle y réalise une architecture audacieuse et moderne, s’éloignant du style néo-classique qui domine la région, et qui se fond parfaitement dans son environnement naturel.L’hôtel promet un style moderne, un charme authentique et un confort suprême. Il intègre la beauté inégalée du lac de Côme dans son design avec une vue panoramique depuis chaque angle du bâtiment. Au programme, des espaces surdimensionnés et un cadre intimiste tout en sobriété. Pour garantir la qualité de l’expérience, l’hôtel compte uniquement trente suites, chacune profitant pleinement de la lumière naturelle grâce aux larges baies plongeant dans les eaux tranquilles.Avec près de 150 mètres de rivage privatifs, le Sereno s’offre le luxe de déployer sur ses berges une piscine chauffée suspendue sur le lac, mais également une marina privée permettant aux clients d’arriver par l’un des bateaux de l’hôtel, personnalisés par Ernesto Riva lui-même. La brasserie chic confiée au restaurateur italien installé à Londres Giuliano Lotto ou encore un jardin surplombant le lac font de cette propriété sophistiquée un lieu emblématique, summum de l’élégance et du luxe.Patricia UrquiolaArchitecte et designer, son nom et son travail ne nous sont plus inconnus. Formée aux côtés des plus grands designers, cette espagnole et milanaise d’adoption mène sa carrière tambour battant ! Après avoir étudié l’architecture à Milan avec Achille Castiglioni, elle devient responsable du développement chez De Padova. Son premier objet édité est d’ailleurs la chaise Flower, cosignée avec Magistretti.Elle ouvre sa propre agence en 2001 et multiplie les collaborations avec les plus grands éditeurs et notamment avec Moroso.Son univers est fait d’ornementation, de douceur et de poésie, d’exubérance, de raffinement et de sensualité… Ses créations sont autant d’expériences qui allient les méthodes artisanales aux impératifs industriels.Elue Créatrice de l’Année en 2008 lors du salon Now ! Design à Vivre, Patricia Urquiola connait un succès planétaire : de nombreuses expositions lui sont consacrées à travers le monde et ses œuvres font partie des collections permanentes du MoMA.ON AIMEL’architecture de l’hôtel dans un cadre unique, en pleine nature, et l’agencement ultra-chic de Patrica Urquiola.INFORMATIONS PRATIQUESHôtel Il SerenoVia Torrazza, 10 22020 Torno, Como – Italie À partir de 600€ la nuit Découvrez l’hôtel iciHuss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
Huss Gstaad HotelHuss Gstaad Hotel combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Ce luxueux hôtel style chalet suisse familial, chaleureux et cosy, vient tout juste d’ouvrir ses portes en décembre dernier dans le superbe village de Gstaad. HUSS ou « maison » en français est fait pour se sentir comme chez soi, il combine raffinement et décontraction dans un magnifique écrin.Rester proche de la nature avec une architecture authentique et rustique dans les traditions des Alpes, en harmonie avec l’environnement, sont les directives données à l’architecte norvégien Erik Niessen Johansen. Le design nordique associe le grand luxe à l’élégance et nous plonge dans un univers merveilleux fait de raffinement et de discrétion. Il règne dans cette demeure une atmosphère tamisée dans une ambiance feutrée, propice au repos et à l’évasion. En cuisine le chef étoilé Guiseppe Collela orchestre les 4 restaurants, où les produits organiques issus des fermes locales sont mis à l’honneur.Côté nuit, les chambres se parent de lits king size de la manufacture suédoise Hästens, souvent considérés comme les plus confortables au monde. Les larges baies vitrées ouvrant sur les balcons et terrasses offrent une immersion totale sur les montagnes et les paysages féeriques de Suisse : un spectacle grandeur nature.Comble du luxe en montagne, l’hôtel fournit des équipements pour les excursions en montagne (sacs à dos, bouteilles en aluminium, jumelles…) rien n’est oublié et le concierge veille au grain. Le lieu se distingue par la variété des expériences offertes aux hôtes et dispose de sa propre école de ski.Pour les moins sportif, l’hôtel met à disposition un Range-Rover pour découvrir les environs.Pour se détendre après une journée sportive, le spa vous accueille dans un espace de 2000 m2 sur trois étages avec une vue panoramique sur le jardin et les pics enneigés. Original, un spa pour enfant est prêt à prendre soin des plus petits pour le bonheur des plus grands.ON AIMELe parfait mélange entre luxe et authenticité dans cet hôtel au charme fou où l’on se prélasse au milieu de pièces de design.INFORMATIONS PRATIQUESHuss Gstaad HotelSchönriedstrasse 74 3792 Gstaad-Saanen Suisse 136 chambres et suites, à partir de 160 CHF la nuit Tout sur le site de l’hôtel ici.Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
Villa LaliqueUn véritable hommage au travail des artisans locaux et à l’héritage de René Lalique.La Villa René Lalique rend hommage au travail exceptionnel des artisans locaux et à l’héritage presque centenaire légué par l’artiste visionnaire qu’était René Lalique, et se veut être une vitrine de l’art de vivre et du savoir-faire selon Lalique.C’est à l’initiative de Silvio Denz, Président Directeur Général de Lalique depuis 2008, que la Villa construite par René Lalique en 1920 connaît un nouveau destin et accueille aujourd’hui un hôtel ultra raffiné et un restaurant gastronomique.Cette Villa, chargée d’histoire, fut habitée par le créateur et sa famille lors de leurs séjours en Alsace, la manufacture Lalique, crée en 1921 n’étant qu’à quelques kilomètres de là.La réhabilitation de la maison a été confiée à Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, architectes d’intérieur et auteurs de la collection de meubles et accessoires de décoration « Lalique Maison » (créée en 2011), inspirée de motifs originaux de René Lalique et du style Art Déco.Afin de garder l’authenticité de la maison, les extérieurs ont été restaurés à l’identique. A l’intérieur, les designers ont imaginé six suites évoquant le génie de René Lalique. Toutes différentes, elles portent le nom d’une création emblématique, faisant référence à une décennie dans la vie du maître verrier, à l’exception de la suite « Zeila » qui doit son nom à la célèbre panthère de Marie-Claude Lalique créée en 1989.La conception du restaurant et de la cave ont été confiés à Mario Botta, architecte suisse de renommée internationale. Installé et qui prône une architecture aux considérations éthiques et a à cœur qu’un bâtiment s’intègre parfaitement dans son environnement, tant d’un point de vue visuel que d’un point de vue environnemental. C’est avec cet objectif qu’il a pensé le restaurant de la Villa René Lalique, ses colonnes de grès des Vosges, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, son toit végétalisé…Lalique s’inscrit comme une Maison de luxe et d’art de vivre résolument intemporelle.René Lalique fut d’abord l’inventeur du bijou moderne avant de passer maître dans la verrerie.A l’origine de cette Maison intemporelle, un homme, artiste visionnaire, René-Jules Lalique. Né en 1860 à Ay, un petit village de la Marne, il s’intéresse dès son plus jeune âge au design et à l’art. Son credo : « Mieux vaut la recherche du beau que l’affichage du luxe… »En 1890, René Lalique est reconnu comme l’un des concepteurs de bijoux les plus représentatifs de l’Art Nouveau français. Avant-gardiste, ses créations originales et imaginatives, réalisées grâce aux techniques les plus élaborées, plaisent à une élite intellectuelle et artistique, éloignée des conventions.L’Exposition Universelle de 1900 signe l’apogée de sa carrière de bijoutier. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans l’industrie du verre. René Lalique, déjà maître joaillier de l’Art Nouveau, devient dès 1920, le maître verrier de l’Art Déco.En 1945, à la disparition de René Lalique, Marc, son fils, reprend les rênes de l’entreprise. Il abandonne définitivement le verre au profit du cristal. Sous son impulsion, la cristallerie Lalique prend rapidement sa place parmi les grandes cristalleries françaises et étrangères.ON AIMEL’histoire du lieu ainsi que le mélange d’authenticité et de modernité.INFORMATIONS PRATIQUESVilla Lalique18 Rue Bellevue 67290 Wingen-sur-ModerSite InternetTout sur la villa ici.À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel
À LA DÉCOUVERTE DE L’ARCTIQUEPourquoi ne pas profiter des fêtes de fin d'année pour aller découvrir d'une manière exceptionnelle le pays du Père Noël ?Kakslauttanen est un hôtel familial situé en Laponie finlandaise, à 250 kilomètres au nord du cercle polaire, sur la route du Capnord. La construction des nombreux hébergements de l’hôtel, répondant à tous les goûts, a été guidée par l’amour de la nature lapone.Vous aimez les igloos mais pas la glace ? Depuis les igloos de verre, vous pourrez admirer les aurores boréales, le ciel étoilé, le tout dans une chaleureuse température ambiante.Les igloos de neige marquent une expérience inoubliable, emmitouflés dans des peaux de bête. On y profite de l’ambiance sereine de l’igloo gelé qui isole du moindre bruit extérieur. Si la température extérieure peut atteindre les -40°C, la température à l’intérieur reste constante entre -3°C et -6 °C.Enfin, les huttes de terre sont utilisées comme habitation depuis des siècle en Finlande. Leur toit en tourbe les confond dans le paysage, comme si les trolls de la forêt les avaient construites.Et pour les plus traditionnels, les chalets en rondin vous hébergeront au coin du feu. Bâtis en pins de Kelo, d’impressionnants arbres tombés puis séchés, ils sont typiques de la Finlande.ON AIMELe confort des igloos de verre, et la possibilité de tester les vrais, pendant le même séjour !INFORMATIONS PRATIQUESKakslauttanen – Artic ResortOuvert toute l’année. Vols via FINNAIR avec escale à Paris. Site de l’hôtel