De grands hôtels particuliers de type néo-gothiques s’y construisent (notamment les hôtels de la famille Job, la maison dite du Verrier ou Castel-Gesta); ils voisinent avec des îlots d’habitats plus denses et plus populaires, des maisons basses dites toulousaines caractéristiques des faubourgs de la ville, et des demeures bourgeoises avec jardin dont la rue éponyme des Chalets offre quelques exemples caractéristiques.

Le quartier est très animé avec de nombreux restaurants, cafés et commerces.

Il se situe entre la place du Salin et celle d’Esquirol, il est l’un des quartiers les plus prisé de Toulouse.

Ce quartier tient son nom du couvent des Grands Carmes qui se composé de l’église des Carmes, d’une chapelle, d’un cloître et d’un jardin. Inauguré en 1892, le marché métallique des Carmes, anciennes halles fut construit d’après les plans de Charles Cavé, il fut démoli en 1964 et remplacé par le marché-parking des Carmes signés par les architectes Georges Candilis, Shadrach Woods, Alexis Josic, Jean-Marie Lefèvre.

La rue des Filatiers et la rue Bouquières sont les rues les plus importantes du quartier. Piétonnes, elles sont bordées de petites boutiques aux devantures fleuries et de jolis cafés animés. On y admire des façades de maison en corondage, des fenêtres de style Renaissance tel que la maison de l’orfèvre Hélie Guéraud ou la maison Lamothe.

Le quartier est structuré autour de ce lycée, construit en 1989 par l’agence Architecture-Studio.

Il est connu pour son aspect populaire, vivant, chaleureux, et cosmopolite.

Niveau transports en commun, le quartier est très bien desservi, de nombreuses lignes y convergent : ligne A du métro, lignes T1 et T2 du tramway, et de nombreuses lignes de bus.

Le quartier se compose à la fois de Toulousaines, d’anciens corps de fermes rénovés, et de bâtiments plus récents comme l’Espace EDF Bazacle qui fait partie des lieux culturels incontournables de Toulouse. Bien desservi, il relie la ville par de nombreuses lignes de bus effectuant de fréquents passages chaque jour, ainsi que par le réseau VélôToulouse.

L’enseignement est au cœur des préoccupations de ce quartier qui se veut orienté vers la jeunesse et son évolution, avec plusieurs crèches, une école primaire et plusieurs écoles d’enseignement supérieur. Divers équipements sportifs et espaces verts ponctuent son paysage, ce qui lui permet de conjuguer à la fois sport et loisirs. La coulée verte qui traverse tout le quartier est probablement une des plus belles ballades de Toulouse. La digue aménagée est également très appréciée des familles et coureurs à pied qui peuvent se rendre depuis le centre-ville jusqu’à Blagnac sur un très beau parcours qui longe la Garonne.

On y trouve également de nombreux restaurants, cafés et bars qui permettent des rencontres entre amis ou en famille tout au long de l’année. Ce quartier qui propose de multiples lieux conviviaux et de belles promenades se veut idéal pour les amateurs de calme et de “bon-vivre” au plus près du centre-ville.

Le quartier du Busca est réputé́ pour ses promenades, ses jardins aménagés et ses maisons bourgeoises. Il fait partie des quartiers les plus prisés de la ville. Le Jardin des Plantes et le Musée Georges Labit offrent aux résidents des refuges verdoyants et culturels.

Très agréable à vivre, ce quartier accueille aussi bien des familles, des étudiants que des séniors en quête d’une qualité́ de vie inégalée en centre-ville.

À proximité du centre-ville, il dispose d’un habitat varié et ponctué d’espaces verts, entre maisons typiques toulousaines et résidences plus modernes.

Le quartier jouit également d’une animation culturelle et sportive grâce à son théâtre le Grenier, et à ses multiples salles de sport. Quelques restaurants permettent de sortir entre amis ou en famille tandis que de petits commerces de proximité offrent leur contribution à la vie du quartier. Le marché de Béteille, qui a lieu tous les samedis matins, est réputé pour ses ventes de volailles vivantes et de produits de qualité.

Entre les multiples arrêts de bus, les stations de métro Argoulets et Roseraie, et les Vélô, chacun peut trouver de quoi se déplacer à sa convenance.

L’éducation n’est pas en reste avec pas moins de trois crèches, deux écoles maternelles, une école primaire, deux collèges, un lycée, et un établissement supérieur.

Pratique et agréable à vivre, entre bon réseau de transports, système éducatif bien fourni et offre de loisirs intéressante, c’est un quartier à découvrir !

Bordée par la Garonne, Lakanal, Mirepoix, Gambetta, Sainte-Ursule, la rue de la Bourse et la rue de Metz, la place de la Daurade et ses cafés sont l’endroit idéal pour admirer un magnifique coucher de soleil sur les façades des maisons bourgeoises de la quais.

En son cœur, la basilique de la Daurade, attenante à l’École des Beaux-Arts, trône majestueusement. C’est un lieu privilégié pour les promeneurs et les touristes qui profitent des restaurants et de la proximité du fleuve. Balades, pique-niques sur les berges et apéritifs en terrasse sont possibles.

Le quartier est équipé de nombreux petits commerces, utiles pour la vie de tous les jours.

A deux pas du centre-ville, les bords de la Garonne sont facilement accessibles, à pied, en voiture ou en transports en commun. Les amateurs de soirées animées et conviviales seront ravis.

Le port de la Daurade fait l’objet depuis fin 2015 d’un important réaménagement imaginé par l’architecte Joan Busquets. Cet aménagement est au cœur du projet Grand Parc Garonne qui vise à reconquérir les berges de la Garonne, principal axe naturel de Toulouse et de sa métropole.

Le quartier s’articule autour de l’église Notre-Dame de la Dalbade, de la rue de la Dalbade, et de la rue de la Fonderie.

C’est un quartier calme, où hôtels particuliers et habitations anciennes jalonnent les rues. À proximité immédiate de la place Esquirol et ces transports, il est facile de se rendre partout.

Un endroit paisible à deux pas de l’effervescence de la ville.

La partie Nord est composée principalement de petits pavillons. Cette partie se prolonge vers le jardin du Barry et l’éco-quartier de La Cartoucherie. 

La partie Sud se compose de petites rues en impasses délimitées par la rocade, l’avenue de Lardenne et la voie de chemin de fer. 

On y trouve notamment l’Hippodrome de la Cépière, ainsi que le Château de La Cépière, dont le pigeonnier, les façades et les toitures sont inscrites au titre des Monuments Historiques.

Le quartier est bien relié par les transports en commun, et relativement jeune. 

Les travaux de construction, supervisés par le paysagiste et urbaniste Alain Marguerit, devraient prendre fin en cette année 2020.

Le quartier est délimité par l’avenue de Grande-Bretagne au Nord, la rue Badiou au Sud, et la voie du TOEC à l’Ouest.

Les halles, édifiées au début du XX^ème siècle, seront réhabilitées afin d’accueillir des équipements culturels et commerciaux. Un îlot d’habitats participatifs est en cours de construction près de la Grande Halle ; il comptera 90 logements répartis autour d’un jardin partagé. Les futurs résidents ont participé à l’ensemble des démarches nécessaires à la conception de leur logement qui sera parfaitement adapté à leurs besoins.

Le quartier est desservi par deux stations de tramway et trois lignes de bus. Il se trouve à proximité des lignes A et C du métro, et est directement accessible depuis le périphérique.

Cadre agréable, pour un éco-système alternatif en devenir.