Ramonville

Ramonville est une commune située au Sud-Est de l’agglomération toulousaine.

La commune bénéficie d’un patrimoine remarquable : le canal du Midi, classé au patrimoine de l’humanité, au-dessus duquel se dresse le pont de Mange-Pommes, un pigeonnier datant du XVIIème siècle, le château de Soule, le château d’Aubuisson, ainsi qu’un aqueduc à siphon.

Ramonville détient une situation géographique privilégiée, aux portes de l’Espagne et des Pyrénées. Elle constitue un réel pôle culturel, résidentiel et économique, où se côtoient les coteaux boisés et le canal du Midi. Les berges du canal, entièrement aménagées pour les cyclistes et piétons permettent ainsi de rejoindre Toulouse dans un cadre verdoyant. Les nombreux espaces verts en font un lieu idéal pour les balades entre amis ou en famille.

Pour les enfants, de nombreuses infrastructures scolaires sont prévues, allant de la crèche au lycée.

Accessible par le périphérique de Toulouse et desservie par la ligne B du métro de Toulouse, ainsi que par plusieurs lignes de bus, la commune bénéficie du calme de la campagne, à deux pas de la ville.

Pont des Demoiselles

Situé au Sud-Est de la ville, entre le quartier du Busca et de la Côte Pavée, et traversé par le Canal du Midi, le quartier Pont des Demoiselles est un quartier huppé de la Ville Rose, en pleine évolution grace au projet Aérospace Campus.

Squares, parcs et jardins raviront les amoureux de la nature, mais les citadins ne seront pas en reste pour autant : la place des Ormeaux et l’avenue Antoine de Saint-Exupéry sont de vrais repères où se côtoient commerces de proximité et lieux de vie, conférant une âme conviviale au quartier.

Le dernier espace conçu par l’architecte dit « jardin intérieur » longe le salon en revenant vers le séjour et occupe une étonnante véranda : le sol est constitué d’une couche de terre végétale recouverte de dalles de ciment aléatoirement percées pour disposer des plantations, le plafond est décollé de la maison par une double rangée de pavés de verre qui ceinture la quasi-totalité du corps principal, toujours dans une volonté d’évoquer la légèreté.

L’escalier en comblanchien, prolongé d’une large coursive intérieure, conduit à quatre chambres et à une salle de bain. La chambre prenant place dans la rotonde bénéficie, grâce à ses deux fenêtres bandeaux accolées, d’une lumière tamisée par une symbolique pergola de béton qui chemine sur la coursive extérieure. Une quatrième chambre avec salle d’eau occupe l’étage du second volume de la maison, ouverte sur la loggia, accessible par un escalier extérieur dont la finesse de la serrurerie rappelle l’univers nautique. Le rez-de-chaussée de ce volume est occupé par une cuisine avec sa propre cheminée, une buanderie, communiquant avec un garage attenant.

Une œuvre d’art Moderne qui attend l’amateur éclairé sachant lui redonner l’énergie des années 50.

Pierre Marmouget

Né en 1923, Pierre Marmouget entre à l’école d’architecture de Bordeaux en décembre 1942.

Élève de Pierre Ferret, le père de Claude Ferret, l’architecte en chef choisi pour la Reconstruction de Royan, il reçoit à Bordeaux une formation classique dispensé par ce maître, adepte de l’Art Nouveau au début du XXe siècle.
Jeune prodige et protégé de Claude Ferret, il signe certaines des plus étonnantes réalisations des années 1950 : Villa Boomerang, villa Grille-Pain, place du Docteur Gantier, le Palais des Congrès, le Casino…

Son travail est largement marqué par les influences de l’architecture brésilienne d’Oscar Niemeyer ou de Lucio Costa. Un style qui s’affine, qui s’affirme vers toujours plus de courbes, plus de couleurs pour un plan devenu organique. Cette référence se remarque également, naturellement, sur les façades des édifices qu’il a dessiné pour Claude Ferret : le Palais des Congrès et surtout le Casino Municipal qui reste sans aucun doute le chef-d’œuvre de son passage à Royan.

Empruntant nombre des effets à l’architecture brésilienne, il réussit néanmoins à créer son propre langage architectural utilisant les techniques les plus originales pour jouer avec la lumière et le soleil de la Charente-Maritime.

Patte d’Oie

Le quartier Patte d’Oie est un quartier situé sur la rive gauche toulousaine, bordé par les quartiers Saint-Cyprien, Arènes et Fer à Cheval.

Patte d’Oie n’échappe pas à la gentrification de la rive gauche. On y trouve un croisement de mixité de population, les jeunes arrivants côtoient les seniors vivant dans le quartier depuis leur plus jeune âge. Tout le monde se retrouve dans cette vie de quartier cosmopolite.

L’architecture est hétéroclite, notamment parce que c’est un quartier vivant et en pleine mutation. Tous les styles architecturaux sont présents, des constructions des années 50 à nos jours côtoient des Toulousaines d’exception, l’ensemble étant tourné vers la vie du quartier.

Entre le rond-point de la Patte d’Oie et la place St-Cyprien, se profile l’avenue Étienne Bilière, véritable artère commerçante du quartier. De nombreux commerces de proximité offrent aux habitants de ce quartier familial, une véritable animation. Tous les commerces sont représentés : de l’alimentaire à l’habillement en passant par la coiffure, tout pour offrir une vraie vie de village aux habitants du quartier.

Tous les moyens de transports y sont réunis : le tramway avec ses lignes T1 et T2, le métro avec sa ligne A, ainsi que la gare de trains. Tout cela pour desservir le lycée des Arènes véritable bouillon de savoir des arts graphiques et de la communication, mais aussi pour offrir aux toulousains la possibilité de se déplacer partout dans la ville avec ce point de rencontre.

C’est une vie douce et harmonieuse qui coule dans les veines de la Patte d’Oie, les commerces et les rues aux architectures variée, offrent un cadre de vie propice aux rencontres.

Montrabé

Montrabé est une commune située à l’Est de Toulouse, où il fait bon vivre.

L’espace rural occupe la moitié du territoire communal, tandis que l’espace urbanisé couvre le centre de la commune de part et d’autre des axes la traversant. L’habitat y est essentiellement pavillonnaire, avec des constructions modernes pour majorité et quelques maisons anciennes.

Soucieuse du bien-être de ses habitants, la ville comprend des commerces de proximité mais également des centres commerciaux. De nombreuses infrastructures scolaires sont prévues, allant de la crèche au collège.
La commune bénéficie d’une multitude d’associations, offrant aux habitants un panel large d’activités culturelles et sportives.

Accessible par le périphérique, sa gare routière, ainsi que par plusieurs lignes de bus, la commune bénéficie d’un réseau de transports varié la reliant à Toulouse.

Parfaitement complète, la commune de Montrabé offre la possibilité de cultiver détente et esprit de famille, tout en profitant d’une vie de village à deux pas de la vie Toulousaine.

Matabiau

Situé à l’Est du centre-ville, près du canal du Midi et de la médiathèque, le quartier Matabiau est particulièrement affectionné des purs citadins.

Le quartier est principalement lié à la gare Matabiau et représente un secteur cosmopolite. Il bénéficie encore de quelques petits commerces de proximité et on y trouve également beaucoup de restaurants du monde. Le réseau scolaire est très bien pourvu, et le secteur des transports aussi.

Côté immobilier, les agréables rues, dont beaucoup sont classées, proposent de jolies maisons de ville et d’agréables appartements, dans des résidences de qualité ou des maisons rénovées. Un projet d’envergure métropolitaine, nommé Toulouse Euro-Sud-Ouest, est en cours de finalisation dans le quartier. Il comprendra au total environ 1 million de mde logements, bureaux, commerces, centres commerciaux, loisirs, entourant un pôle multimodal autour de la gare de Toulouse-Matabiau et de la future gare Marengo.

Le cœur du projet est l’Occitanie Tower : gratte-ciel aux façades de verre et aux jardins verticaux, qui mesurera 150 mètres de haut et comptera 40 étages. La réalisation devrait être livrée en 2021-2022.

Les Minimes

Vivant et populaire, le quartier des Minimes, avec son habitat varié, attire une population diversifiée.

Ce quartier se trouve au Nord du centre-ville. Le quartier tire son nom de la présence des religieux « Les Minimes » qui furent les premiers à s’installer sur ce lieu. S’il est composé principalement de petits immeubles mitoyens de quelques étages sur les plus grands axes comme l’avenue des Minimes, le reste du quartier est doté de maisonnettes indépendantes, souvent du XIXème et XXème siècles, disposant de sympathiques jardins.

Le quartier est plutôt riche de petits commerces de proximité, liés à l’alimentation. Un marché, où sont présents les petits producteurs, se tient le jeudi matin.

Soucieux du bien-être de ses familles, le quartier dispose de nombreuses structures pour les enfants : écoles, crèches, collèges, et l’école technique de photographie et d’audiovisuel. Le transport dans le quartier est bien assuré, grâce au métro, aux bus, et aux vélos. L’épicentre de la ville n’est qu’à quelques pas.

Les Chalets

Le quartier des Chalets ou Chalets-Concorde est un quartier de Toulouse, situé à proximité immédiate du centre historique.

De grands hôtels particuliers de type néo-gothiques s’y construisent (notamment les hôtels de la famille Job, la maison dite du Verrier ou Castel-Gesta); ils voisinent avec des îlots d’habitats plus denses et plus populaires, des maisons basses dites toulousaines caractéristiques des faubourgs de la ville, et des demeures bourgeoises avec jardin dont la rue éponyme des Chalets offre quelques exemples caractéristiques.

Le quartier est très animé avec de nombreux restaurants, cafés et commerces.