MARSEILLE OCTOPUS WORLDWIDEAvis aux amateurs de culture et de gastronomie : Marseille joue la Poulpe Connection, pendant 8 jours de programmation tentaculaire.A mi-chemin entre art, science et gastronomie, Marseille Octopus Worlwide, imaginé par Philippe Ivanez, dévoilera sa première édition du 8 au 14 octobre dans toute la ville.Projections vidéos, installations sonores, conférences et expositions sur le thème du céphalopode envahiront les meilleurs restaurants pour des expériences gustatives mêlant les sens. Pour l’occasion, plus de 40 chefs – étoilés comme issus de la jeune scène culinaire – se penchent sur nos assiettes. Parmi eux, Mathieu Roche (aux manettes du restaurant Ourea), Pierre Giannetti, Marine Crousnillon, Sandi de Las Piedras (La Fabriquerie), Laetitia Visse (la Relève) mais aussi Armand Arnal, chef du restaurant gastronomique La Chassagnette, en Arles, qui investira le restaurant des Dauphins, sur la corniche, pour un diner scénarisé pour le moins immersif…Au menu, une exposition de photographies également, sur la façade des Dock à la Joliette – avec notamment l’artiste Doublas White de la Double V Gallery – ou encore un programme prondeurs au cinéma de l’Alhambra. » Regarder, réfléchir, goûter, s’instruire, échanger, rêver, lire, cuisiner »… Avis aux amateurs de culture et de gastronomie : Marseille joue la Poulpe Connection, pendant 8 jours de programmation tentaculaire.ON AIMELa thématique mono ingrédient La fédération de chefs étoilésINFORMATIONS PRATIQUESMarseille Octopus WorldwideDu 8 au 14 octobre, à Marseille Découvrez la programmation ici© Yannick Monnier, Elle Hugues, Gallery Double VLA SAGA : SÉBASTIEN NOUS EMMÈNE…Quand Sébastien nous emmène... au Cap Ferret, à la découverte du concept Hédonic. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Co-fondateur, Sébastien œuvre sur toutes les questions relatives à la stratégie, au positionnement de la marque et à la relation client. Son leitmotiv est d’assurer à ARCHIK son positionnement haut de gamme par la qualité des prestations ARCHIK. Et on peut dire qu’il a du métier en la matière. Il a fait ses armes chez BMW où il a passé 10 ans, du marketing à la communication en passant par les relations presse et le commerce B to B, expérience dont il applique les enseignements à l’immobilier. De ces années automobiles, il a gardé une vraie passion pour les voitures et motos : modèles rares, quotidiens, ou customisés, tous suscitent son intéret, pourvus que la réalisation soit admirable, le design pointu, guidés par un certain art de vivre.Lors de ses vacances en famille au Cap Ferret, pas étonnant que son oeil s’arrête sur le concept Hedonic. A la croisée de ses deux passions, le lieu allie l’automobile à l’architecture. Ici, d’anciennes Porsche sont restaurées dans les règles de l’art – toutes sont Machting Number pour les puristes – et on y trouve des 356 ou premières 911 que l’on croirait sortir tout juste de l’usine! L’écrin, quant à lui, est une construction en bois typique de la région, érigée par le constructeur Viva Bois. Mais la marque Hedonic va plus loin, et imagine même ses propres modèles, créés à partir de modèles légendaires, associant également des marques (BeoPlay, Ludovic Lazareth) ou des maroquiniers pour créer des collaborations à l’effigie d’Hedonic.Avis aux passionnés de machines, comme aux amateurs de concepts innovants !ON AIMELes concepts qui osent rassembler plusieurs passions, comme ARCHIK !INFORMATIONS PRATIQUESHédonic3 bis avenue du Général de Gaulle – Claouey 33950 Site Web© HédonicLA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... au Musée Soulages, à Rodez. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Spécialiste de la bastide et de la maison de maître, passionnée par l’architecture industrielle, Marie est une fille ARCHIK. Son quartier de prédilection à Marseille ? L’Estaque : à la fois berceau de la peinture moderne et sujet à la rénovation d’anciennes usines en friche, le coin allie culture et architecture, deux de ses passions. Car lorsqu’elle ne travaille pas, Marie, peu technophile, préfère les théatres, musées ou cinémas à l’ordinateur. Pendant la quizaine des réalisateurs, chaque année, vous la pouvez croiser à l’Alhambra, cinéma d’inités, à la programmation pointue.Et en vacances, c’est à Rodez qu’elle nous emmène, pour visiter le Musée Soulages : chef d’oeuvre du cabinet catalan RCR Arquitectes, le bâtiment présente une façade en Corten qui répond au vert du jardin écrin. A l’intérieur, les œuvres de Soulages témoignent des diverses techniques déployées par l’artiste tout au long de sa carrière. Mais la promenade se poursuit également dans les environs : pour cette escapade, Marie nous recommande la maison d’hôte Les Tapies, vieille bastide cachée à l’esprit convivial ou encore le restaurant La Maison. A Rodez, émotions visuelles et gustatives sont au rendez-vous !ON AIME(Re)découvrir les plus belles oeuvres de Pierre SoulagesINFORMATIONS PRATIQUESMusée SoulagesJardin du Foirail, Avenue Victor Hugo – 12000 RodezDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : AMANDINE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... à la Cité de Carcassonne. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée depuis toujours de design et d’architecture, à l’affût des dernières tendances, Amandine a créé ARCHIK en 2014. La jeune structure s’est depuis affirmée comme étape incontournable pour les amateurs d’architecture, les collectionneurs de biens de caractère et les connaisseurs de beaux matériaux. Sa sélection soigneuse démontre une préférence pour les appartements bourgeois revisités par architectes, les villas contemporaines ou les biens cachés à fort potentiel. De fait, la rénovation est au coeur de l’univers d’Amandine, tout comme les rencontres entre héritage passé et pratiques contemporaines qu’elle favorise.C’est peu dire : même en vacances, il est question d’allier plaisir et culture, et de chercher à s’aguiser le regard. Direction cette fois-ci à la Cité de Carcassone, sur les traces de son enfance, pour une lecture inédite de l’architecture de la forteresse médiévale, à travers l’oeuvre éphémère et spectaculaire de Felice Varini.L’artiste franco-suisse, qui avait déjà sévi sur le toit de la Cité Radieuse de Le Corbusier (berceau d’ARCHIK), propose cet été une installation originale basée sur le principe de l’anamorphose qui l’a rendu célèbre. Le choix de cette création, qui s’inspire de l’architecture de la Cité tout en modifiant la perception et la vision du lieu, a été opéré par le Centre des Monuments Nationaux pour célébrer le 20e anniversaire de l’inscription de la cité de Carcassonne sur la Liste du Patrimoine Mondial de l’Unesco.Une escapade culturelle qui nous rappelle l’importance d’un regard neuf sur l’Histoire : ici, les vieilles pierres de la Cité de Carcassonne révèlent leurs aspérités sous les bandes d’aluminium de Felice Varini et, dans ce rayonnement, nous disent combien elles sont vivantes malgré les siècles.ON AIMEQuand le contemporain se mêle au patrimoineINFORMATIONS PRATIQUESCité de CarcassonneDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : VANESSA NOUS EMMÈNE…Quand Vanessa nous emmène... au Musée de la Vie Romantique, à Paris. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Négociatrice au sein de la Maison ARCHIK de Toulouse, Vanessa est habituée aux univers singuliers, qu’il s’agisse de décoration ou de haute couture. Sa formation de costumière, son expérience dans l’univers du luxe ou plus tard en tant que fleuriste étaient autant d’occasions d’affirmer son amour du Beau, et son brin de fantaisie. Adepte des objets chargés de sens, elle se rend tous les premiers week-end du mois sur les Allées François Verdier pour chiner la pièce rare parmi le grand déballage des antiquaires.Pour cet été, destination le 9ème arrondissement de Paris pour une plongée dans l’Histoire : au coeur d’une bâtisse de 1830, ancienne maison du peintre Ary Scheffer, se trouve le Musée de la Vie Romantique qui réouvrait tout juste cet été. On y découvre des peintures, meubles, et bijoux dantant des XVIIIe et XIXe siècles, mais aussi une exposition temporaire pour laquelle la photographe Anne-Lise Broyer présente une dizaine d’œuvres s’intéressant à la vie intime de la grande écrivaine Georges Sand. Après la visite, comment résister au célèbre salon de thé Rose Bakery, fraichement installé dans les jardins du musée ? Cet été, toutes les raisons sont bonnes pour une virée culturelle en plein Paris.ON AIMEProfiter des vacances pour se plonger dans l’HistoireINFORMATIONS PRATIQUESMusée de la Vie Romantique16 rue Chaptal – Paris 09 Site Web© IDEATUN ÉCRIN POUR GIACOMETTIDans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la conservation des décors, et non une restauration à l’identique.Inauguré au mois de juin, l’Institut Giacometti occupe une élégante maison individuelle dans le quartier de Montparnasse, qui fut le fief parisien du sculpteur pendant plus de quarante ans.Daté de la période de transition stylistique entre Art Nouveau et Art Déco, le bâtiment a été construit entre 1912 et 1914. Pour les architectes Pascal Grasso et Pierre-Antoine Gatier en charge de la création de l’Institut, l’enjeu était triple : respecter le monument historique, donner toute sa place à l’œuvre de Giacometti, tout en imaginant un lieu contemporain possédant sa propre identité.« C’est un bâtiment classé, les décors sont inscrits, tout est restauré, on n’est pas dans le pastiche », précise Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti et de son Institut.Dans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la « conservation des décors », et non une restauration à l’identique. L’objectif étant de conserver les marques du temps, les traces historiques – tapisseries, fresques, cheminées, mosaïques – et d’y ajouter par un geste contemporain, les éléments nécessaires à la nouvelle vocation du lieu.« Nous avons choisi une approche contextuelle consistant à conserver les traces de l’Histoire et à transformer les contraintes imposées par le bâtiment existant en atouts pour une création contemporaine. » Pascal GrassoON AIMEL’architecture contextuelle La beauté des lignes Art DécoINFORMATIONS PRATIQUESInstitut Giacometti5 rue Victor Schoelcher – Paris 14 Site WebLA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : SÉBASTIEN NOUS EMMÈNE…Quand Sébastien nous emmène... au Cap Ferret, à la découverte du concept Hédonic. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Co-fondateur, Sébastien œuvre sur toutes les questions relatives à la stratégie, au positionnement de la marque et à la relation client. Son leitmotiv est d’assurer à ARCHIK son positionnement haut de gamme par la qualité des prestations ARCHIK. Et on peut dire qu’il a du métier en la matière. Il a fait ses armes chez BMW où il a passé 10 ans, du marketing à la communication en passant par les relations presse et le commerce B to B, expérience dont il applique les enseignements à l’immobilier. De ces années automobiles, il a gardé une vraie passion pour les voitures et motos : modèles rares, quotidiens, ou customisés, tous suscitent son intéret, pourvus que la réalisation soit admirable, le design pointu, guidés par un certain art de vivre.Lors de ses vacances en famille au Cap Ferret, pas étonnant que son oeil s’arrête sur le concept Hedonic. A la croisée de ses deux passions, le lieu allie l’automobile à l’architecture. Ici, d’anciennes Porsche sont restaurées dans les règles de l’art – toutes sont Machting Number pour les puristes – et on y trouve des 356 ou premières 911 que l’on croirait sortir tout juste de l’usine! L’écrin, quant à lui, est une construction en bois typique de la région, érigée par le constructeur Viva Bois. Mais la marque Hedonic va plus loin, et imagine même ses propres modèles, créés à partir de modèles légendaires, associant également des marques (BeoPlay, Ludovic Lazareth) ou des maroquiniers pour créer des collaborations à l’effigie d’Hedonic.Avis aux passionnés de machines, comme aux amateurs de concepts innovants !ON AIMELes concepts qui osent rassembler plusieurs passions, comme ARCHIK !INFORMATIONS PRATIQUESHédonic3 bis avenue du Général de Gaulle – Claouey 33950 Site Web© HédonicLA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... au Musée Soulages, à Rodez. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Spécialiste de la bastide et de la maison de maître, passionnée par l’architecture industrielle, Marie est une fille ARCHIK. Son quartier de prédilection à Marseille ? L’Estaque : à la fois berceau de la peinture moderne et sujet à la rénovation d’anciennes usines en friche, le coin allie culture et architecture, deux de ses passions. Car lorsqu’elle ne travaille pas, Marie, peu technophile, préfère les théatres, musées ou cinémas à l’ordinateur. Pendant la quizaine des réalisateurs, chaque année, vous la pouvez croiser à l’Alhambra, cinéma d’inités, à la programmation pointue.Et en vacances, c’est à Rodez qu’elle nous emmène, pour visiter le Musée Soulages : chef d’oeuvre du cabinet catalan RCR Arquitectes, le bâtiment présente une façade en Corten qui répond au vert du jardin écrin. A l’intérieur, les œuvres de Soulages témoignent des diverses techniques déployées par l’artiste tout au long de sa carrière. Mais la promenade se poursuit également dans les environs : pour cette escapade, Marie nous recommande la maison d’hôte Les Tapies, vieille bastide cachée à l’esprit convivial ou encore le restaurant La Maison. A Rodez, émotions visuelles et gustatives sont au rendez-vous !ON AIME(Re)découvrir les plus belles oeuvres de Pierre SoulagesINFORMATIONS PRATIQUESMusée SoulagesJardin du Foirail, Avenue Victor Hugo – 12000 RodezDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : AMANDINE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... à la Cité de Carcassonne. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée depuis toujours de design et d’architecture, à l’affût des dernières tendances, Amandine a créé ARCHIK en 2014. La jeune structure s’est depuis affirmée comme étape incontournable pour les amateurs d’architecture, les collectionneurs de biens de caractère et les connaisseurs de beaux matériaux. Sa sélection soigneuse démontre une préférence pour les appartements bourgeois revisités par architectes, les villas contemporaines ou les biens cachés à fort potentiel. De fait, la rénovation est au coeur de l’univers d’Amandine, tout comme les rencontres entre héritage passé et pratiques contemporaines qu’elle favorise.C’est peu dire : même en vacances, il est question d’allier plaisir et culture, et de chercher à s’aguiser le regard. Direction cette fois-ci à la Cité de Carcassone, sur les traces de son enfance, pour une lecture inédite de l’architecture de la forteresse médiévale, à travers l’oeuvre éphémère et spectaculaire de Felice Varini.L’artiste franco-suisse, qui avait déjà sévi sur le toit de la Cité Radieuse de Le Corbusier (berceau d’ARCHIK), propose cet été une installation originale basée sur le principe de l’anamorphose qui l’a rendu célèbre. Le choix de cette création, qui s’inspire de l’architecture de la Cité tout en modifiant la perception et la vision du lieu, a été opéré par le Centre des Monuments Nationaux pour célébrer le 20e anniversaire de l’inscription de la cité de Carcassonne sur la Liste du Patrimoine Mondial de l’Unesco.Une escapade culturelle qui nous rappelle l’importance d’un regard neuf sur l’Histoire : ici, les vieilles pierres de la Cité de Carcassonne révèlent leurs aspérités sous les bandes d’aluminium de Felice Varini et, dans ce rayonnement, nous disent combien elles sont vivantes malgré les siècles.ON AIMEQuand le contemporain se mêle au patrimoineINFORMATIONS PRATIQUESCité de CarcassonneDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : VANESSA NOUS EMMÈNE…Quand Vanessa nous emmène... au Musée de la Vie Romantique, à Paris. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Négociatrice au sein de la Maison ARCHIK de Toulouse, Vanessa est habituée aux univers singuliers, qu’il s’agisse de décoration ou de haute couture. Sa formation de costumière, son expérience dans l’univers du luxe ou plus tard en tant que fleuriste étaient autant d’occasions d’affirmer son amour du Beau, et son brin de fantaisie. Adepte des objets chargés de sens, elle se rend tous les premiers week-end du mois sur les Allées François Verdier pour chiner la pièce rare parmi le grand déballage des antiquaires.Pour cet été, destination le 9ème arrondissement de Paris pour une plongée dans l’Histoire : au coeur d’une bâtisse de 1830, ancienne maison du peintre Ary Scheffer, se trouve le Musée de la Vie Romantique qui réouvrait tout juste cet été. On y découvre des peintures, meubles, et bijoux dantant des XVIIIe et XIXe siècles, mais aussi une exposition temporaire pour laquelle la photographe Anne-Lise Broyer présente une dizaine d’œuvres s’intéressant à la vie intime de la grande écrivaine Georges Sand. Après la visite, comment résister au célèbre salon de thé Rose Bakery, fraichement installé dans les jardins du musée ? Cet été, toutes les raisons sont bonnes pour une virée culturelle en plein Paris.ON AIMEProfiter des vacances pour se plonger dans l’HistoireINFORMATIONS PRATIQUESMusée de la Vie Romantique16 rue Chaptal – Paris 09 Site Web© IDEATUN ÉCRIN POUR GIACOMETTIDans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la conservation des décors, et non une restauration à l’identique.Inauguré au mois de juin, l’Institut Giacometti occupe une élégante maison individuelle dans le quartier de Montparnasse, qui fut le fief parisien du sculpteur pendant plus de quarante ans.Daté de la période de transition stylistique entre Art Nouveau et Art Déco, le bâtiment a été construit entre 1912 et 1914. Pour les architectes Pascal Grasso et Pierre-Antoine Gatier en charge de la création de l’Institut, l’enjeu était triple : respecter le monument historique, donner toute sa place à l’œuvre de Giacometti, tout en imaginant un lieu contemporain possédant sa propre identité.« C’est un bâtiment classé, les décors sont inscrits, tout est restauré, on n’est pas dans le pastiche », précise Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti et de son Institut.Dans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la « conservation des décors », et non une restauration à l’identique. L’objectif étant de conserver les marques du temps, les traces historiques – tapisseries, fresques, cheminées, mosaïques – et d’y ajouter par un geste contemporain, les éléments nécessaires à la nouvelle vocation du lieu.« Nous avons choisi une approche contextuelle consistant à conserver les traces de l’Histoire et à transformer les contraintes imposées par le bâtiment existant en atouts pour une création contemporaine. » Pascal GrassoON AIMEL’architecture contextuelle La beauté des lignes Art DécoINFORMATIONS PRATIQUESInstitut Giacometti5 rue Victor Schoelcher – Paris 14 Site WebLA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... au Musée Soulages, à Rodez. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Spécialiste de la bastide et de la maison de maître, passionnée par l’architecture industrielle, Marie est une fille ARCHIK. Son quartier de prédilection à Marseille ? L’Estaque : à la fois berceau de la peinture moderne et sujet à la rénovation d’anciennes usines en friche, le coin allie culture et architecture, deux de ses passions. Car lorsqu’elle ne travaille pas, Marie, peu technophile, préfère les théatres, musées ou cinémas à l’ordinateur. Pendant la quizaine des réalisateurs, chaque année, vous la pouvez croiser à l’Alhambra, cinéma d’inités, à la programmation pointue.Et en vacances, c’est à Rodez qu’elle nous emmène, pour visiter le Musée Soulages : chef d’oeuvre du cabinet catalan RCR Arquitectes, le bâtiment présente une façade en Corten qui répond au vert du jardin écrin. A l’intérieur, les œuvres de Soulages témoignent des diverses techniques déployées par l’artiste tout au long de sa carrière. Mais la promenade se poursuit également dans les environs : pour cette escapade, Marie nous recommande la maison d’hôte Les Tapies, vieille bastide cachée à l’esprit convivial ou encore le restaurant La Maison. A Rodez, émotions visuelles et gustatives sont au rendez-vous !ON AIME(Re)découvrir les plus belles oeuvres de Pierre SoulagesINFORMATIONS PRATIQUESMusée SoulagesJardin du Foirail, Avenue Victor Hugo – 12000 RodezDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : AMANDINE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... à la Cité de Carcassonne. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée depuis toujours de design et d’architecture, à l’affût des dernières tendances, Amandine a créé ARCHIK en 2014. La jeune structure s’est depuis affirmée comme étape incontournable pour les amateurs d’architecture, les collectionneurs de biens de caractère et les connaisseurs de beaux matériaux. Sa sélection soigneuse démontre une préférence pour les appartements bourgeois revisités par architectes, les villas contemporaines ou les biens cachés à fort potentiel. De fait, la rénovation est au coeur de l’univers d’Amandine, tout comme les rencontres entre héritage passé et pratiques contemporaines qu’elle favorise.C’est peu dire : même en vacances, il est question d’allier plaisir et culture, et de chercher à s’aguiser le regard. Direction cette fois-ci à la Cité de Carcassone, sur les traces de son enfance, pour une lecture inédite de l’architecture de la forteresse médiévale, à travers l’oeuvre éphémère et spectaculaire de Felice Varini.L’artiste franco-suisse, qui avait déjà sévi sur le toit de la Cité Radieuse de Le Corbusier (berceau d’ARCHIK), propose cet été une installation originale basée sur le principe de l’anamorphose qui l’a rendu célèbre. Le choix de cette création, qui s’inspire de l’architecture de la Cité tout en modifiant la perception et la vision du lieu, a été opéré par le Centre des Monuments Nationaux pour célébrer le 20e anniversaire de l’inscription de la cité de Carcassonne sur la Liste du Patrimoine Mondial de l’Unesco.Une escapade culturelle qui nous rappelle l’importance d’un regard neuf sur l’Histoire : ici, les vieilles pierres de la Cité de Carcassonne révèlent leurs aspérités sous les bandes d’aluminium de Felice Varini et, dans ce rayonnement, nous disent combien elles sont vivantes malgré les siècles.ON AIMEQuand le contemporain se mêle au patrimoineINFORMATIONS PRATIQUESCité de CarcassonneDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : VANESSA NOUS EMMÈNE…Quand Vanessa nous emmène... au Musée de la Vie Romantique, à Paris. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Négociatrice au sein de la Maison ARCHIK de Toulouse, Vanessa est habituée aux univers singuliers, qu’il s’agisse de décoration ou de haute couture. Sa formation de costumière, son expérience dans l’univers du luxe ou plus tard en tant que fleuriste étaient autant d’occasions d’affirmer son amour du Beau, et son brin de fantaisie. Adepte des objets chargés de sens, elle se rend tous les premiers week-end du mois sur les Allées François Verdier pour chiner la pièce rare parmi le grand déballage des antiquaires.Pour cet été, destination le 9ème arrondissement de Paris pour une plongée dans l’Histoire : au coeur d’une bâtisse de 1830, ancienne maison du peintre Ary Scheffer, se trouve le Musée de la Vie Romantique qui réouvrait tout juste cet été. On y découvre des peintures, meubles, et bijoux dantant des XVIIIe et XIXe siècles, mais aussi une exposition temporaire pour laquelle la photographe Anne-Lise Broyer présente une dizaine d’œuvres s’intéressant à la vie intime de la grande écrivaine Georges Sand. Après la visite, comment résister au célèbre salon de thé Rose Bakery, fraichement installé dans les jardins du musée ? Cet été, toutes les raisons sont bonnes pour une virée culturelle en plein Paris.ON AIMEProfiter des vacances pour se plonger dans l’HistoireINFORMATIONS PRATIQUESMusée de la Vie Romantique16 rue Chaptal – Paris 09 Site Web© IDEATUN ÉCRIN POUR GIACOMETTIDans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la conservation des décors, et non une restauration à l’identique.Inauguré au mois de juin, l’Institut Giacometti occupe une élégante maison individuelle dans le quartier de Montparnasse, qui fut le fief parisien du sculpteur pendant plus de quarante ans.Daté de la période de transition stylistique entre Art Nouveau et Art Déco, le bâtiment a été construit entre 1912 et 1914. Pour les architectes Pascal Grasso et Pierre-Antoine Gatier en charge de la création de l’Institut, l’enjeu était triple : respecter le monument historique, donner toute sa place à l’œuvre de Giacometti, tout en imaginant un lieu contemporain possédant sa propre identité.« C’est un bâtiment classé, les décors sont inscrits, tout est restauré, on n’est pas dans le pastiche », précise Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti et de son Institut.Dans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la « conservation des décors », et non une restauration à l’identique. L’objectif étant de conserver les marques du temps, les traces historiques – tapisseries, fresques, cheminées, mosaïques – et d’y ajouter par un geste contemporain, les éléments nécessaires à la nouvelle vocation du lieu.« Nous avons choisi une approche contextuelle consistant à conserver les traces de l’Histoire et à transformer les contraintes imposées par le bâtiment existant en atouts pour une création contemporaine. » Pascal GrassoON AIMEL’architecture contextuelle La beauté des lignes Art DécoINFORMATIONS PRATIQUESInstitut Giacometti5 rue Victor Schoelcher – Paris 14 Site WebLA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : AMANDINE NOUS EMMÈNE…Quand Amandine nous emmène... à la Cité de Carcassonne. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée depuis toujours de design et d’architecture, à l’affût des dernières tendances, Amandine a créé ARCHIK en 2014. La jeune structure s’est depuis affirmée comme étape incontournable pour les amateurs d’architecture, les collectionneurs de biens de caractère et les connaisseurs de beaux matériaux. Sa sélection soigneuse démontre une préférence pour les appartements bourgeois revisités par architectes, les villas contemporaines ou les biens cachés à fort potentiel. De fait, la rénovation est au coeur de l’univers d’Amandine, tout comme les rencontres entre héritage passé et pratiques contemporaines qu’elle favorise.C’est peu dire : même en vacances, il est question d’allier plaisir et culture, et de chercher à s’aguiser le regard. Direction cette fois-ci à la Cité de Carcassone, sur les traces de son enfance, pour une lecture inédite de l’architecture de la forteresse médiévale, à travers l’oeuvre éphémère et spectaculaire de Felice Varini.L’artiste franco-suisse, qui avait déjà sévi sur le toit de la Cité Radieuse de Le Corbusier (berceau d’ARCHIK), propose cet été une installation originale basée sur le principe de l’anamorphose qui l’a rendu célèbre. Le choix de cette création, qui s’inspire de l’architecture de la Cité tout en modifiant la perception et la vision du lieu, a été opéré par le Centre des Monuments Nationaux pour célébrer le 20e anniversaire de l’inscription de la cité de Carcassonne sur la Liste du Patrimoine Mondial de l’Unesco.Une escapade culturelle qui nous rappelle l’importance d’un regard neuf sur l’Histoire : ici, les vieilles pierres de la Cité de Carcassonne révèlent leurs aspérités sous les bandes d’aluminium de Felice Varini et, dans ce rayonnement, nous disent combien elles sont vivantes malgré les siècles.ON AIMEQuand le contemporain se mêle au patrimoineINFORMATIONS PRATIQUESCité de CarcassonneDu 4 mai au 30 septembre 2018 Site WebLA SAGA : VANESSA NOUS EMMÈNE…Quand Vanessa nous emmène... au Musée de la Vie Romantique, à Paris. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Négociatrice au sein de la Maison ARCHIK de Toulouse, Vanessa est habituée aux univers singuliers, qu’il s’agisse de décoration ou de haute couture. Sa formation de costumière, son expérience dans l’univers du luxe ou plus tard en tant que fleuriste étaient autant d’occasions d’affirmer son amour du Beau, et son brin de fantaisie. Adepte des objets chargés de sens, elle se rend tous les premiers week-end du mois sur les Allées François Verdier pour chiner la pièce rare parmi le grand déballage des antiquaires.Pour cet été, destination le 9ème arrondissement de Paris pour une plongée dans l’Histoire : au coeur d’une bâtisse de 1830, ancienne maison du peintre Ary Scheffer, se trouve le Musée de la Vie Romantique qui réouvrait tout juste cet été. On y découvre des peintures, meubles, et bijoux dantant des XVIIIe et XIXe siècles, mais aussi une exposition temporaire pour laquelle la photographe Anne-Lise Broyer présente une dizaine d’œuvres s’intéressant à la vie intime de la grande écrivaine Georges Sand. Après la visite, comment résister au célèbre salon de thé Rose Bakery, fraichement installé dans les jardins du musée ? Cet été, toutes les raisons sont bonnes pour une virée culturelle en plein Paris.ON AIMEProfiter des vacances pour se plonger dans l’HistoireINFORMATIONS PRATIQUESMusée de la Vie Romantique16 rue Chaptal – Paris 09 Site Web© IDEATUN ÉCRIN POUR GIACOMETTIDans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la conservation des décors, et non une restauration à l’identique.Inauguré au mois de juin, l’Institut Giacometti occupe une élégante maison individuelle dans le quartier de Montparnasse, qui fut le fief parisien du sculpteur pendant plus de quarante ans.Daté de la période de transition stylistique entre Art Nouveau et Art Déco, le bâtiment a été construit entre 1912 et 1914. Pour les architectes Pascal Grasso et Pierre-Antoine Gatier en charge de la création de l’Institut, l’enjeu était triple : respecter le monument historique, donner toute sa place à l’œuvre de Giacometti, tout en imaginant un lieu contemporain possédant sa propre identité.« C’est un bâtiment classé, les décors sont inscrits, tout est restauré, on n’est pas dans le pastiche », précise Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti et de son Institut.Dans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la « conservation des décors », et non une restauration à l’identique. L’objectif étant de conserver les marques du temps, les traces historiques – tapisseries, fresques, cheminées, mosaïques – et d’y ajouter par un geste contemporain, les éléments nécessaires à la nouvelle vocation du lieu.« Nous avons choisi une approche contextuelle consistant à conserver les traces de l’Histoire et à transformer les contraintes imposées par le bâtiment existant en atouts pour une création contemporaine. » Pascal GrassoON AIMEL’architecture contextuelle La beauté des lignes Art DécoINFORMATIONS PRATIQUESInstitut Giacometti5 rue Victor Schoelcher – Paris 14 Site WebLA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : VANESSA NOUS EMMÈNE…Quand Vanessa nous emmène... au Musée de la Vie Romantique, à Paris. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Négociatrice au sein de la Maison ARCHIK de Toulouse, Vanessa est habituée aux univers singuliers, qu’il s’agisse de décoration ou de haute couture. Sa formation de costumière, son expérience dans l’univers du luxe ou plus tard en tant que fleuriste étaient autant d’occasions d’affirmer son amour du Beau, et son brin de fantaisie. Adepte des objets chargés de sens, elle se rend tous les premiers week-end du mois sur les Allées François Verdier pour chiner la pièce rare parmi le grand déballage des antiquaires.Pour cet été, destination le 9ème arrondissement de Paris pour une plongée dans l’Histoire : au coeur d’une bâtisse de 1830, ancienne maison du peintre Ary Scheffer, se trouve le Musée de la Vie Romantique qui réouvrait tout juste cet été. On y découvre des peintures, meubles, et bijoux dantant des XVIIIe et XIXe siècles, mais aussi une exposition temporaire pour laquelle la photographe Anne-Lise Broyer présente une dizaine d’œuvres s’intéressant à la vie intime de la grande écrivaine Georges Sand. Après la visite, comment résister au célèbre salon de thé Rose Bakery, fraichement installé dans les jardins du musée ? Cet été, toutes les raisons sont bonnes pour une virée culturelle en plein Paris.ON AIMEProfiter des vacances pour se plonger dans l’HistoireINFORMATIONS PRATIQUESMusée de la Vie Romantique16 rue Chaptal – Paris 09 Site Web© IDEATUN ÉCRIN POUR GIACOMETTIDans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la conservation des décors, et non une restauration à l’identique.Inauguré au mois de juin, l’Institut Giacometti occupe une élégante maison individuelle dans le quartier de Montparnasse, qui fut le fief parisien du sculpteur pendant plus de quarante ans.Daté de la période de transition stylistique entre Art Nouveau et Art Déco, le bâtiment a été construit entre 1912 et 1914. Pour les architectes Pascal Grasso et Pierre-Antoine Gatier en charge de la création de l’Institut, l’enjeu était triple : respecter le monument historique, donner toute sa place à l’œuvre de Giacometti, tout en imaginant un lieu contemporain possédant sa propre identité.« C’est un bâtiment classé, les décors sont inscrits, tout est restauré, on n’est pas dans le pastiche », précise Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti et de son Institut.Dans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la « conservation des décors », et non une restauration à l’identique. L’objectif étant de conserver les marques du temps, les traces historiques – tapisseries, fresques, cheminées, mosaïques – et d’y ajouter par un geste contemporain, les éléments nécessaires à la nouvelle vocation du lieu.« Nous avons choisi une approche contextuelle consistant à conserver les traces de l’Histoire et à transformer les contraintes imposées par le bâtiment existant en atouts pour une création contemporaine. » Pascal GrassoON AIMEL’architecture contextuelle La beauté des lignes Art DécoINFORMATIONS PRATIQUESInstitut Giacometti5 rue Victor Schoelcher – Paris 14 Site WebLA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
UN ÉCRIN POUR GIACOMETTIDans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la conservation des décors, et non une restauration à l’identique.Inauguré au mois de juin, l’Institut Giacometti occupe une élégante maison individuelle dans le quartier de Montparnasse, qui fut le fief parisien du sculpteur pendant plus de quarante ans.Daté de la période de transition stylistique entre Art Nouveau et Art Déco, le bâtiment a été construit entre 1912 et 1914. Pour les architectes Pascal Grasso et Pierre-Antoine Gatier en charge de la création de l’Institut, l’enjeu était triple : respecter le monument historique, donner toute sa place à l’œuvre de Giacometti, tout en imaginant un lieu contemporain possédant sa propre identité.« C’est un bâtiment classé, les décors sont inscrits, tout est restauré, on n’est pas dans le pastiche », précise Catherine Grenier, directrice de la Fondation Giacometti et de son Institut.Dans cet écrin dédié au sculpteur, le parti pris était la « conservation des décors », et non une restauration à l’identique. L’objectif étant de conserver les marques du temps, les traces historiques – tapisseries, fresques, cheminées, mosaïques – et d’y ajouter par un geste contemporain, les éléments nécessaires à la nouvelle vocation du lieu.« Nous avons choisi une approche contextuelle consistant à conserver les traces de l’Histoire et à transformer les contraintes imposées par le bâtiment existant en atouts pour une création contemporaine. » Pascal GrassoON AIMEL’architecture contextuelle La beauté des lignes Art DécoINFORMATIONS PRATIQUESInstitut Giacometti5 rue Victor Schoelcher – Paris 14 Site WebLA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : MARGAUX NOUS EMMÈNE…Quand Margaux nous emmène... au Château de Massillan. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Passionnée par l’immobilier d’exception, Margaux a pu se forger un oeil depuis toute jeune au fil des projets ambitieux de son père, marchand de biens. Mais avant de rejoindre cette voie qu’elle savait faite pour elle, elle a d’abord cotoyé le monde de la culture, auprès de commisseurs priseurs ou encore au Grand Théatre de Provence.Ainsi, les lieux qui l’animent sont souvent chargés d’histoire, et leur restauration – si elle a eu lieu – s’est opérée dans le respect de leur patrimoine. C’est ainsi qu’elle nous emmène cet été au Chateau de Massillan, au coeur du Vaucluse. Datant du 16e siècle, cet hotel de charme entend être une véritable passerelle entre passé et avenir. Ici, le site a vécu une profonde transformation grâce à la mise en place d’un projet d’éco-construction dirigé par le propriétaire, Didier Pérréol, afin d’assurer une entente parfaite entre Hôtellerie Haut de gamme et Respect de l’environnement.Sur place, on trouve ainsi au coeur de ce parc de 10 hectares, des vignes, des cours de cuisine, des balades à vélo, une cuisine bio, ou encore un potager… Une destination idéale pour des vacances au vert!ON AIMEL’idée d’un raffinement esthétique conçu dans le respect de l’environnementINFORMATIONS PRATIQUESChâteau de Massillan730 chemin de Massillan – 84100 Uchaux Site WebVILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
VILLA EREMO DE MONTEVERGINEDe toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Noyée dans la végétation méditerranéenne, une villa à Ischia surplombe les rochers du capo Forio, dans la baie de Naples, un des endroits les mieux préservés de l’île. De toutes les villas privilégiées du site, cette maison, que l’on nomme Eremo de Montevergine est assurément la plus fascinante de toutes.Ancien monastère accroché à la roche, le batiment édifié au XVIIIe siècle a été réhabilité dans les années 70 par l’architecte napolitain Guiliano Andrea dell’Uva qui a su remettre en majesté les fenêtres, portes, niches et voûtes de cette construction d’exception, tout en mariant les éléments d’origine avec des créations et couleurs contemporaines.Si l’ambiance monacale demeure volontairement à travers un lit en fer et en corde, une corniche en bois ou quelques chaises néogothiques, l’équilibre est subtilement assuré par les tables ou portes en verre bleu Majorelle imaginées par l’architecte, par des céramiques sixties ou encore des fauteuils des années 1950 recouverts de tissu dessiné par Livio De Simone.Côté rue, l’architecture très rythmée laisse deviner la structure en terrasses. Côté garigue, un jardin calme de plantes mêlées nous invite à une déambulation entre ciel et mer, entre cactées, orangers, néfliers et citronniers…Une escapade estivale à planifier!ON AIMELa réhabilitation respectueuse de l’histoire des lieuxINFORMATIONS PRATIQUESVilla Eremo De Montevergine Via Tommaso Cigliano 144, Forio d’Ischia, 80075, Italia. Site Web© Mathieu Salvaing pour ADLA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : MELISSA NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... aux Rencontres d'Arles. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Avant de rejoindre l’équipe ARCHIK, Melissa a déjà vécu de nombreuses vies : des études de commerce à Lyon, un passage par une agence de communication dans le secteur du luxe à Paris, une expérience dans le marché de l’art chez Christie’s à Londres… Un parcours dense pour cette jeune femme désormais marseillaise, qui a trouvé sa place au sein de l’équipe d’ARCHIK à l’aube de l’aventure.Son rôle ? Dénicher des biens d’anthologie, des univers qui rassemblent art, architecture et design.Pas étonnant qu’elle nous emmène cet été du côté d’Arles, où se déroulent les incontournables Rencontres de la Photographie. De cette escapade culturelle elle retient l’exposition « Contemplation », fruit d’une collaboration inédite entre le photographe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’architecte colombien Simón Vélez. Une proposition transdisciplinaire, un voyage spirituel au coeur d’un pavillon en bambou, qui allie photographie, architecture, musique et méditation. Car si Melissa est une hyper-active, elle prône néanmois ces « instants de sérénité », qui invitent à la réfléxion, la contemplation ou la découverte.Cet été, on déconnecte dans un écrin d’exception.LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA SAGA : MARIE NOUS EMMÈNE…Quand Marie nous emmène... à Cadaquès. Un tour d'horizon des destinations immanquables de l'été, testées et dénichées par l'équipe ARCHIK !Après avoir fait ses débuts chez ARCHIK à Toulouse, sa ville natale, Marie rejoint l’équipe de Marseille, avec devant elle un nouvel horizon. Ce qu’elle aime dans ses deux villes du sud ? Déambuler dans les rues, attentive aux bâtiments, dénichant les cours intérieures ou lieux insolites. Elle apprécie autant l’élégance des quartiers chics, que le caractère brut et cosmopolitie d’autres plus anciens, qui lui rappellent son expérience berlinoise.Pour poursuivre ses explorations citadines, direction cet été, Cadaquès, en Espagne, aussi appelé à juste titre « Le Joyau Blanc de la Costa Brava. Dans ce village de charme, la présence de Dali, qui vivait là avec sa muse Gala est partout. D’autres aussi, comme Éluard, Matisse ou Picasso, se sont épris du coin dans les années 1930, faisant des lieux un endroit de rencontres et d’échanges culturels. Un voyage dans le temps aidé par les architectures que Marie se plait à repérer : ici, un emblème du modernisme – la maison Serinyana – là des ligne gotiques – l’église de Santa María est un incontournable. Des vacances les pieds dans l’eau, les yeux ailleurs, partout sur les multiples facettes du joyau blanc.LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
LA MARCHANDE DES 4 SAISONSPas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.Située au cœur de la ville d’Arles, à quelques pas de la place de la mairie, La Marchande des 4 saisons – entre galerie et antiquaire – est un véritable repère pour esthètes.Imaginée au gré de ses rencontres, la sélection d’œuvres et d’objets d’Anne Carpentier est renouvelée chaque saison. Parmi ses pépites on retrouve tant de la photographie que de la peinture, du mobilier ancien ou du design contemporain, de la céramique, du marbre, ou encore des travaux de tapisserie… Ici, « les frontières sont abolies au profit de la mise en scène », précise Anne Carpentier.Après avoir montré des pièces de Pierre Jeanneret, Alison Thirion, Pablo Goury ou Lia Rochas-Pàris, la nouvelle exposition estivale est consacrée aux créations de Marion Mailaender dans une exposition-rétrospective nommée « Arts Décoratifs ». Inspirée par les années 80-90, avec une prédilection pour les designers italiens de Gio Ponti à Ettore Sottsass, la designer marseillaise imagine des œuvres frivoles et audacieuses, où la sculpturalité l’emporte sur la fonctionnalité.Un rapport de force entre art et design mis à l’épreuve dans ces Samples Vases( qu’on ne présente plus), mais aussi à travers ses ready made K2000 ou sa collection Endless summer, entièrement carrelée de blanc, qui exprime des envies de piscines inassouvies… « comme si Jean-Pierre Raynaud et David Hockney organisaient une pool party ».Pas de doute, cet été, c’est à Arles qu’il faut être.ON AIMELa justesse de cette sélection d’esthèteINFORMATIONS PRATIQUESLa Marchande des 4 Saisons12 Rue de la Rotonde, 13200 Arles Site WebEN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents
EN TROMPE-L’OEILBérangère et Sophie imaginent un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effacent tout repère tangible.A l’occasion de la 3ème édition du festival Design Parade Toulon, organisé par la Villa Noailles, les magazines Eyes on Talents et Frame ont décerné leur mention spéciale à Bérangère Botti & Sophie Genestoux pour leur proposition « En trompe l’oeil ».Une fois diplômée de l’Ecole Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon, où elles se sont rencontrées, les deux designers ont fondé leur agence, Autre, en 2015. Leur ambition? “Dessiner et éditer du mobilier, réaliser un hôtel, réhabiliter un bâtiment patrimonial”. Pour ce, elles puisent leur inspiration dans les créations du designer italien Carlo Scarpa, qui s’inscrivent à la fois dans l’architectural et le décoratif. Cherchant à respecter ce même équilibre qui se fait mot d’ordre de leur pratique, elles imaginent pour la Design Parade Toulon un espace énigmatique carrelé de blanc où des jeux de réflexions et de lignes géométriques effaçent tout repère tangible.Pièce maîtresse de cette mise en scène aux perspectives faussées et décuplées, la banquette Lavastone de Charlotte Juillard, qui se trouvait jusqu’alors à la Maison ARCHIK, trône dans cet espace contemplatif aux côtés de créations signées Garnier & Linker, Pierre Frey ou encore Chiara Colombini.ON AIMEL’élégance de cette propositionINFORMATIONS PRATIQUESDesign Parade ToulonAncien évêché, 69 cours Lafayette – Toulon Expositions jusqu’au 30 septembre Site WebNavigation des articlesArticles plus anciensArticles plus récents