Lieu de détente et de rencontre, elle séduit aussi bien les familles que les jeunes actifs, grâce à son équilibre entre tranquillité et animation estivale.

Bien desservie par les axes routiers et à proximité de Royan, la ville offre un accès facile aux plages, aux sentiers côtiers et aux forêts environnantes. Elle dispose de commerces de proximité, restaurants et cafés, permettant de profiter d’une vie locale agréable sans quitter le charme de la Côte.

Le littoral de Vaux‑sur‑Mer, avec ses falaises et ses plages de sable fin, a récemment bénéficié de réaménagements visant à valoriser le patrimoine naturel et à faciliter l’accès aux promeneurs et cyclistes. Les constructions typiques de la région — villas balnéaires du début du XXᵉ siècle, bâtiments en pierre et maisons traditionnelles — dialoguent harmonieusement avec les aménagements contemporains, offrant un cadre architectural à la fois historique et moderne.

Ici, le bâti n’a rien d’ostentatoire : maisons basses, murs blanchis à la chaux, volets bleu grisé, toits de tuiles courbes patinés par les embruns. Le charme tient à la simplicité, à cette harmonie spontanée entre la pierre, le bois et la lumière. Les ruelles s’entrelacent autour d’un puits, d’un figuier, d’un éclat de ciel.

À Saint-Trojan, les villas Belle Époque se dissimulent dans les pins, les vérandas ouvrent sur la mer et le sable se glisse jusqu’aux porches. Le Château-d’Oléron, lui, revendique son passé maritime : la citadelle veille, les cabanes ostréicoles repeintes d’ocres et de verts abritent aujourd’hui ateliers et galeries. À Saint-Denis, le port aligne ses mâts comme des traits de lumière, tandis que les cabines de plage multicolores ponctuent la côte.

Le rythme est celui du vent et des marées. On se déplace à vélo, on s’arrête au marché, on prend le temps. L’île ne se visite pas, elle se respire : au détour d’un marais salant, d’une dune ou d’un sentier côtier, le silence dialogue avec le cri d’une mouette.